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Nos 20 têtes d’affiches de la rentrée

Actu, Danse, Paris, Théâtre

De Rennes à Lyon, de Limoges à Villeurbanne, de Saint-Etienne à Toulon, de Marseille à Bordeaux, sans oublier le festival d’Automne à Paris, voici nos 20 têtes d’affiche pour cette rentrée 2022. 

Germaine Acogny transmet Le Sacre du printemps de Pina Bausch à un groupe de danseurs africain à La Villette dans le cadre de saison du Théâtre de la Ville.

Germaine Acogny, la grande danseuse et chorégraphe sénégalaise présente enfin à Paris, après plusieurs reports dus à la pandémie, Le Sacre de Pina Bausch avec 32 danseurs africains.

Et elle s’allie à Malou Airaudo, danseuse emblématique du Tanztheater Wuppertal de la première heure – et qui dansa elle-même le rôle de l’Élue – pour créer un duo qui reflétera leurs expériences, leurs histoires, et leurs échanges.

Jeanne Balibar dans Les Historiennes – recréation au festival actoral à Marseille puis au festival d’Automne à Paris.

De l’esclave portugaise Pascoa traînée en l’an 1700 devant le tribunal de l’Inquisition pour bigamie, de la meurtrière parricide Violette Nozière, à l’incomparable actrice Delphine Seyrig, militante engagée dans le combat féministe des années 1970 Jeanne Balibar dresse le portrait de trois femmes inscrites profondément dans l’histoire de leur temps, trois destins uniques révélés sur le plateau du théâtre qui, à l’égal des études historiques, peut faire revivre les morts – ou les mortes – en nous les rendant proches.

Créé le 13 octobre 2018 au French Institute Alliance Française – FIAF / Florence Gould Hall Theatre (New York), dans le cadre de Crossing the Line Festival, Jeanne Balibar reprend ce spectacle en tournée en France.

Dominique Blanc dans La Douleur de Marguerite Duras au TNP.

En 2008, en collaboration étroite avec Thierry Thieû Niang, Patrice Chéreau s’emparait de ce texte et en confiait l’interprétation à Dominique Blanc. Plus de dix ans après la création originale, Thierry Thieû Niang, chorégraphe et artiste associé au TNP, reprend seul la mise en scène.

Au fil des ans, le texte de Marguerite Duras est devenu un compagnon de route pour Dominique Blanc. Récompensée pour son interprétation par le Molière de la meilleure comédienne, elle fait corps avec la simplicité et l’intensité de l’écriture durassienne.

 

Louise Coldefy dans Vania/Vania au Théâtre de la Tempête.

Louise Coldefy est une fidèle de la troupe de Clément Poirée. Elle joue dans Vie et mort de H de Hanokh Levin, La Nuit des rois de Shakespeare, La Vie est un songe de Calderón ou Catch. Pour Netflix elle a tourné dans Family business de Igor Gotesman.

Avec Moustafa Benaïbout et Clément Poirée, elle a adapté pour cette rentrée Oncle Vania de Tchekhov dans une version où un couple de scénaristes s’isole pour écrire « Vania ».

 

Suzanne de Baecque dans Tenir debout au CDN d’Orléans, puis au Théâtre du Nord.

A l’été 2020, dans le cadre d’un projet immersif proposé en dernière année de sa formation à l’Ecole du Nord de Lille, Suzanne de Baecque décide de se présenter à l’élection de Miss Poitou- Charentes, d’infiltrer le comité en se mettant en scène dans le réel tout en questionnant sa pratique de comédienne.

Mais aussi partir à la rencontre de ses concurrentes – Lauraline, Lolita, Chloé – des jeunes filles de son âge dont le rêve est de devenir « Miss régionale », d’interroger leurs motivations joyeuses ou touchantes et leurs désirs d’émancipation à l’heure où une nouvelle parole féministe est en train de naître, de se libérer.

Joséphine de Meaux dans La cuisse du Steward de Jean-Michel Ribes au Rond-Point.

Joséphine de Meaux reprend le rôle de Yvonne Barnette, créé par Jacqueline Maillan en 1990 au Théâtre de la Renaissance, son dernier spectacle. Joséphine de Meaux assure cette nouvelle mise en scène avec Mériam Korichi.

Dans cette pièce Jean-Michel Ribes, raconte l’histoire de survivants d’un crash d’avion en haut de la cordillère des Andes, inspiré d’un fait divers réel. Deux survivants finissent des pieds de footballeurs grillés aux amandes. Reste la cuisse d’un feu steward, qu’Yvonne veut garder pour Noël.

 

Micha Lescot dans Richard II aux Amandiers à Nanterre.

Sous la direction de Christophe Rauck, le comédien s’est imposé cet été au 76e festival d’Avignon comme le maître du plateau dans la tragédie de Shakespeare.

Véritable maître du plateau, il se saisit de la traduction de Jean-Michel Déprats avec une étonnante maestria et offre à Richard II des accents philosophico-poétiques qu’on lui méconnaissait. Surtout, il donne à apprécier les différentes facettes d’un personnage polymorphe.

 

Jérémy Lopez dans Max au Rond-Point.

Max ou l’histoire d’un fait divers qui a glacé le monde entier un matin de Toussaint 1925 : le suicide de Max Linder, la plus grande star du monde ! La toute première star d’un art naissant : le cinéma.

« J’aime infiniment quand l’empreinte de l’acteur et l’ombre de son rôle se superposent presque en nous laissant deviner une sorte de tremblement dont on ne peut plus dire à qui il appartient » explique Stéphane Olivié Bisson, l’auteur et le metteur en scène du spectacle.

Pierre Maillet dans Mes jambes, si vous saviez, quelle fumée.. au Théâtre National de Bretagne.

Bruno Geslin et Pierre Maillet dressent un portrait sensible d’un artiste inclassable, Pierre Molinier, photographe surréaliste et fétichiste, sans jamais tomber dans la vulgarité dans

Créé en 2004 au Théâtre de la Bastille, le spectacle repart en tournée pour cette saison 2022/2023. Bruno Geslin et Pierre Maillet ont décidé de le reprendre régulièrement jusqu’à ce que Pierre Maillet ait atteint le même âge que Pierre Molinier, c’est-à-dire soixante-treize ans !

 

Estelle Meyer dans Coriolan de Shakespeare au Théâtre de la Bastille.

Comédienne, chanteuse, compositrice, poétesse… Estelle Meyer est beaucoup de femmes à la fois. Elle est aussi une artiste qui se confronte à toutes les formes de théâtre. La saison dernière dans Sous ma robe, mon cœur, elle embarquait avec elle toutes les créatures humaines, animales, fantastiques qui peuplent ses pensées.

Elle se fond en cette rentrée dans la troupe de François Orsoni qui met en scène Coriolan de Shakespeare au Théâtre de la Bastille.

 

Bouchera Ouizgen chorégraphie Elephant au Festival d’Automne 2022.

Annulée la saison dernière en raison des difficultés de circulation des interprètes internationaux dans le contexte pandémique, la nouvelle création de Bouchra Ouizguen, Éléphant, se laisse enfin découvrir comme une cérémonie troublante et envoutante portée par des artistes issues de traditions populaires marocaines, des chanteuses et musiciennes bercées par la musique et la danse depuis leur enfance.

 

 

Amanda Piña, la chorégraphe brésilienne ouvre le Festival d’Automne 2022 avec Frontera / Procesión – Un Ritual de Água.

Décoloniser les arts et la culture : telle est l’ambition d’un projet pluridisciplinaire au long cours intitulé Endangered Human Movements, qui depuis 2014 explore les mouvements humains. Frontera / Procesión – Un Ritual de Água constitue le quatrième volet de cette recherche.

Le dernier spectacle conçu par Amanda Piña plonge ses racines dans l’histoire de la conquête et de la colonisation de l’Amérique, à travers une déambulation avec les danseuses et danseurs de sa compagnie et un groupe d’amatrices et amateurs.

 

Denis Podalydès dans Le Roi Lear à la Comédie-Française.

Le retour de Thomas Ostermeier à la Comédie-Française marque aussi l’entrée au Répertoire du Roi Lear, œuvre dont rêve depuis longtemps le metteur en scène allemand qui a déjà monté six Shakespeare. Denis Podalydès endossera le rôle-titre.

La nouvelle traduction a été confiée à Confiant à Olivier Cadiot qui insiste sur les multiples effets miroirs dans l’histoire du vieux roi qui décide de partager son royaume entre ses trois filles, auxquelles il demande d’énoncer publiquement l’amour qu’elles lui portent.

Adeline Rosenstein – son intégrale Laboratoire Poison – création à La comédie de Saint-Etienne.

Laboratoire Poison est l’aboutissement d’un vaste et passionnant chantier théâtral mené par Adeline Rosenstein et son équipe sur la représentation et la répression des mouvements de résistance, en quatre épisodes.

Traverser plus d’un demi-siècle d’histoire politique en récréant des tableaux vivants avec une palette de bruitages sonores, de solides références et seulement quelques échafaudages en guise de décor, le tout avec intelligence et humour, c’est le pari d’Adeline Rosenstein. Pour ses laboratoires, elle a fréquenté assidument les archives filmiques et littéraires laissées par les témoins des luttes pour l’indépendance, en Algérie, au Congo, et dans les anciennes colonies portugaises (Guinée-Bissau, Cap-Vert).

Guy Régis Jr met en scène L’Amour telle une cathédrale ensevelie aux Zébrures d’Automne à Limoges.

Ce texte est le deuxième de la «Trilogie des Dépeuplés» dans lequel l’auteur tente une radiographie de ces familles haïtiennes qui ne jurent que par leur départ du pays pour des destinations multiples : Etats-Unis, Canada, Guadeloupe, Guyane, Chili, etc.

Guy Régis Junior s’empare d’histoires poignantes : celles des familles haïtiennes disloquées fuyant vers un ailleurs meilleur. Il a choisi une forme musicale, chorale et fédératrice : un chœur lyrique inspiré de chants créoles.

 

Ludivine Sagnier dans Le Consentement d’après le roman de Vanessa Springora au Théâtre Liberté à Toulon.

Avec son adaptation de l’œuvre choc de Vanessa Springora, Sébastien Davis s’inscrit dans la continuité du mouvement #MeToo. Ici, la comédienne Ludivine Sagnier, accompagnée du musicien Pierre Belleville, n’incarne pas seulement le personnage de V., elle a également une parole à porter.

Sur scène, l’ambiguïté de cette relation sous emprise entre une adolescente et un écrivain quinquagénaire est personnifiée par un mur de papier calque qui vient flouter le fond de scène. Le personnage de V. oscille alors entre cet espace trouble qui s’appelle l’adolescence et le réel de la scène, « ce lieu où l’on peut tout dire, tout vivre, tout questionner ».

Gurshad Shaheman livre sa vision de l’Orestie avec Pour que les vents se lèvent au TnBA.

Catherine Marnas et Nuno Cardoso – directeur du Théâtre National de Porto ont confié à Gurshad Shaheman le soin de s’approprier la trilogie des Atrides dans un nouveau texte qui « parle aux gens de notre
temps ».

L’auteur, plus habitué aux textes autobiographiques – Les Forteresses, Pourama Pourama –, relève le défi pour en faire « un bras de fer entre les dominants et les dominés, les oppresseurs et les oppressés ». Une aventure théâtrale pour une large troupe, cette création réunit douze comédiens et comédiennes venu·es de France et du Portugal.

Noé Soulier – 6 x Noé Soulier au Festival d’Automne.

Noé Soulier dirige le Cndc – Angers depuis juillet 2020. Le festival d’Automne présente 6 de ses spectacles dont sa performance Mouvement sur Mouvement (2013) dans laquelle il analyse différentes manières de concevoir le mouvement qui visent à démultiplier l’expérience du corps.

Mais aussi First Memory créé cet été à Montpellier Danse dans lequel il approfondit la question du rapport entre geste et mémoire en collaborant avec le compositeur Karl Naegelen, l’ensemble Ictus et l’artiste Thea Djordjadze.

 

Sylvie Testud dans Tout le monde savait d’Elodie Wallace au Théâtre de l’Œuvre.

Accusée du meurtre de son mari, Valérie Bacot incarne à elle seule un combat. Celui d’une femme pour se sortir de l’emprise de son bourreau, celui d’une mère pour protéger ses enfants, celui d’une victime pour porter une parole dérangeante et nécessaire.

L’histoire de Valérie Bacot c’est l’histoire d’un silence meurtrier, du dysfonctionnement des institutions, d’une difficulté à entendre et prendre en compte la parole des victimes. C’est l’histoire d’une résilience incroyable, celle d’une femme devenue figure iconique de la lutte contre les violences conjugales.

Aurélie Van Den Daele met en scène Je crée et je vous dis pourquoi au Théâtre de l’Union à Limoges.

La directrice du CDN de Limoges, Le Théâtre de l’Union, a passé une commande de textes à plusieurs autrices francophones. « En décembre 2021, lorsque nous nous réunissons avec l’équipe des Francophonies, nous discutons femmes et écritures. Une béance s’ouvre, après des mois de confinement, des mois d’isolement, et une situation internationale au point mort.

Comment raconter aujourd’hui ce qu’est le désir créateur féminin ? La question de la place, de l’identité, de la géographie joue-t-elle un rôle dans l’émergence du désir ? » explique la metteuse en scène.

1 septembre 2022/par L'équipe de sceneweb
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