Judith Henry débute le théâtre sous la direction de Robert Cantarella en 1985 dans Baal de Bertolt Brecht. Elle va croiser sur sa route, Michel Deutsch, Bruno Boëglin, Mathieu Bauer, Christophe Perton. Au Théâtre national de Strasbourg, Christine Letailleur l’a met en scène dans Julie de Lespinasse d’après sa correspondance avec le comte de Guibert.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui toujours …
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Si je peux être au théâtre et répéter je suis contente. Continuer à travailler jusqu’au bout … ça calme !
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Pas vraiment… à part manger un chewing-gum, me laver les dents, revoir mon texte. Et rigoler.
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
J’avais 11 ans et je jouais au Théâtre de l’Aquarium à la Cartoucherie de Vincennes dans La sœur de Shakespeare.
Premier bide ?
Quand j’ai passé un casting en anglais avec Margot Capellier pour un film de Tarantino.
Première ovation ?
Un spectacle de balançoire avec ma cousine Hélène sur les musiques des Demoiselles de Rochefort pendant les vacances en Normandie.
Premier fou rire ?
Avec la compagnie Sentimental Bourreau. On a beaucoup rit !
Premières larmes en tant que spectatrice ?
Lucrèce Borgia à Chaillot mis en scène d’Antoine Vitez avec Nada Stancard.
Première mise à nue ?
Pas que je me souvienne
Première fois sur scène avec une idole ?
Avec Jeanne Moreau pour remettre les palmes à Cannes.
Première interview ?
En primaire pour le journal de l’école
Premier coup de cœur ?
Les spectacles de Patrice Chereau avec ma maman à Nanterre Amandiers.
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