Soir de Première avec André Marcon
André Marcon a débuté sa carrière au théâtre à la fin des années 60 à la Comédie de Saint-Etienne dans la maison de Jean Dasté, très vite il croise le chemin d’Antoine Vitez. En 1975, il joue au Festival d’Avignon L’Ombre d’Evguéni Schwartz dans une mise en scène Gildas Bourdet, puis débute un long compagnonnage avec Roger Planchon au TNP de Villeurbanne. Il a joué sous la direction des plus grands metteurs en scène de la deuxième moitié du 20e siècle de Bernard Sobel à Jacques Lassalle en passant par Luc Bondy et Alain Françon. Il retrouve cette semaine l’autrice et metteuse en scène Yasmina Reza au théâtre de la Colline dans Anne-Marie la beauté. Voici son interview Soir de Première.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui. A des degrés divers d’intensité
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
C’est un peu le couloir de la mort
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Aucune
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
En voyant Jean Dasté et sa troupe jouer sur les places publiques à St Etienne
Premier bide ?
Aucun souvenir
Première ovation ?
Au patronage de mon quartier
Premier fou rire ?
Avec Nelly Borgeaud dans le Tartuffe monté par Roger Planchon
Premières larmes en tant que spectateur ?
C’était au cinéma
Première mise à nue ?
C’en est toujours une
Première fois sur scène avec une idole ?
Un face à face avec Jean Dasté dans L’Opéra des gueux
Première interview ?
M’en souviens pas
Premier coup de cœur ?
Arlequin valet de deux maîtres monté par Giorgio Strelher
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