L’oratorio fantôme de Gurshad Shaheman
Après son triptyque autofictionnel Pourama Pourama, l’artiste iranien Gurshad Shaheman quitte le plateau dans Il pourra toujours dire que c’est pour l’amour du prophète pour mettre en scène d’autres voix d’exilés. Il imagine pour cela un étonnant oratorio où guerre et amour résonnent à l’unisson. Pourama Pourama s’est fait connaître comme une bonne adresse qu’on […]