Richard Bohringer est de retour sur scène dans Quinze Rounds au Théâtre de l’Atelier. De l’enfance aux frasques de la jeunesse, des premiers rôles aux succès qui ont jalonné sa carrière, de la découverte de l’Afrique à la passion de l’écriture, Richard Bohringer se raconte dans ce récit au style enfiévré, au rythme syncopé. Voici son itw Soir de Première.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui.
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Comme les autres journées.
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Je ne peux rien manger.
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier » ?
A 20 ans je me suis inscrit au cours d’Andrée Bauer Thérond.
Premier bide ?
Richard III de Shakespeare, mise en scène Hans-Peter Cloos en 2000.
Première ovation ?
Zorglub au Théâtre de la rue Saint-Benoit dans années 60 avec Serge Sauvion.
Premier fou rire ?
Suivi de mille rires avec le rugbyman Denis Charvet.
Premières larmes en tant que spectateur ?
Amy Winehouse.
Première mise à nue ?
L’italien des Roses, 2e long métrage écrit et réalisé en 1972 par Charles Matton.
Première fois sur scène avec une idole ?
Avec Claude Nougaro.
Première interview ?
A Saint Germain des Près j’ai été interviewé dans la rue.
Premier coup de cœur ?
Antoine Blondin Un singe en hiver.
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