Pour célébrer ses quinze ans, la troupe du NTP plonge dans l’univers de Balzac et retrace, à travers trois spectacles comme autant d’épisodes d’une série théâtrale, l’itinéraire tumultueux de Lucien de Rubempré. Entre opérette, comédie et tragédie, les metteurs en scène et comédiens alternent les styles, allient haute exigence dramatique et accessibilité littéraire, et s’adonnent à quelques paris, majoritairement réussis.
Malgré sa beauté manifeste, l’écrin de Fontaine-Guérin ne protège pas le Nouveau Théâtre Populaire (NTP) des difficultés économiques qui, de part en part, traversent le monde du spectacle vivant. Fin juillet, quelques heures avant l’ouverture de la billetterie de la XVIe édition de son festival annuel, la troupe a adressé, par courriel, une « Lettre au public » en forme de signal d’alarme. « Notre festival est aujourd’hui en danger, annonce-t-elle. Malgré une attention particulière à la réduction des coûts du festival, nous constatons que nous allons à brève échéance au-devant de grandes difficultés financières. Dans ces temps incertains, nous vous appelons à soutenir financièrement l’aventure du Nouveau Théâtre Populaire, et à nous aider à pérenniser sa démarche. » Pour cela, le collectif a invité les spectatrices et les spectateurs à choisir « les tarifs les plus élevés de [sa] grille de tarification libre », qui, depuis 2018, propose des places à 5, 10, 15 ou 20 euros, ou à « faire un don à l’Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire » qui, depuis sa fondation en 2020, abonde le budget de la troupe de quelque 10 000 euros par an. Résultat, le public a répondu présent à cet appel et, au mitan du festival, le prix moyen de la place payée dépassait la barre symbolique des 10 euros, contre 8,10 euros les années précédentes, tandis que les dons à l’Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire connaissaient, eux aussi, une belle dynamique.
Salutaire, cette bulle d’air financière, qui repose sur « une solidarité intra-public », selon les mots de la co-directrice du NTP, Lola Lucas, n’est, par essence, pas pérenne et ne lève pas toutes les menaces qui pèsent sur l’avenir du festival. « Depuis plusieurs années, le festival est structurellement déficitaire d’environ 20 000 euros par an, mais nous parvenions jusqu’ici à combler ce manque, notamment grâce aux activités de méditation et aux actions culturelles que nous menons sur le territoire, détaille-t-elle. Si, pour cette édition, le déficit avait été anticipé et sera majoritairement absorbé par l’aide à la création qui nous a été accordée grâce à la tournée qui s’annonce, il en va tout autrement des deux prochaines années où nous nous préparons à un déficit d’environ 60 000 euros ».
En cause, comme pour tant d’autres structures : l’inflation, qui a renchéri les coûts de l’énergie et entraîné une augmentation des salaires minimaux accordés aux comédiennes et comédiens, mais aussi une stagnation, voire une baisse des aides publiques. « Avec notre budget d’1 million d’euros, dont 150 000 euros de charges fixes, nous sommes devenus une très grosse institution sur un tout petit territoire, observe Lola Lucas. Alors, lorsque nous sollicitons nos tutelles, le discours est le même partout et beaucoup de collectivités rechignent à nous soutenir à l’endroit de la tarification libre et accessible qui fait partie de la base de notre projet. » Quant à la DRAC, elle refuse, depuis plusieurs années, de reconnaître le Nouveau Théâtre Populaire comme une compagnie – ce qui ferme la voie à toute possibilité de conventionnement – au motif qu’il s’agit d’un « collectif ». Pis, elle a fait passer de 20 à 10 000 euros l’aide aux festivals qui, depuis trois ans, est accordée, année par année, au NTP – une baisse compensée par l’augmentation de 10 à 14 000 euros de l’aide au fonctionnement de la Région Pays de la Loire et par l’arrivée du Département du Maine-et-Loire, et de son enveloppe de 6 000 euros, parmi les partenaires publics.
De Chardon à Rubempré
En dépit de ces nuages noirs, la troupe de Fontaine-Guérin n’a, pour célébrer ses quinze ans, cédé aucun millimètre d’audace artistique. Comme chaque année, pas moins de cinq créations sont à l’affiche de cette XVIe édition : deux spectacles jeune public tirés, pour l’un, du Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll, et, pour l’autre, du Pinocchio de Joël Pommerat, et une série théâtrale baptisée Notre Comédie humaine. Contrairement à son habitude, et comme il l’avait fait à l’occasion de sa formidable saga Molière, Le Ciel, la Nuit et la Fête, en forme d’audacieuse traversée du Tartuffe, de Dom Juan et de Psyché, le Nouveau Théâtre Populaire a concentré tous ses efforts sur un auteur unique, Balzac, et plus particulièrement sur la trajectoire de l’un des personnages parmi les plus fameux de sa fresque littéraire, Lucien Chardon, mieux connu sous le nom de Lucien de Rubempré.
À partir d’une adaptation, publiée chez Esse Que Éditions, d’Illusions perdues et de Splendeurs et misères des courtisanes, sont nés trois spectacles, comme autant d’épisodes, tout à la fois autonomes et intimement reliés, d’une aventure hors norme, mais aussi un trio d’apéro-spectacles – qui prendront la forme de prologues ou d’intermèdes au cours de la tournée –, baptisé La Dernière nuit (Paradis/Purgatoire/Enfer). Mettant en scène l’auteur, tel un démiurge littéraire au soir de sa vie, autant accroc au café que perclus de douleurs, ces trois formes courtes, pilotées par Pauline Bolcatto, ont le mérite, si elles paraissaient un peu brouillonnes et malhabiles dans leur adresse public aux soirs des premières, de poser l’esthétique singulière de chacune des pièces qui prennent leur suite, à la manière de sas préparatoires à une épopée formelle où alternent comédie, tragédie et… opérette.
Les Belles Illusions de la jeunesse, le temps (pas si) béni d’Angoulême
Car c’est bien avec ce genre si particulier, qui, avant le début des hostilités, a pu inquiéter une partie du public du NTP, qu’Émilien Diard-Detoeuf a choisi d’ouvrir le bal de cette Comédie humaine qui ne tardera pas à s’imposer, malgré les près de deux siècles qui nous séparent de Lucien de Rubempré, comme la nôtre. Fondées sur la première partie d’Illusions perdues, intitulée Les Deux Poètes, ces Belles Illusions de la jeunesse remontent aux origines du parcours de ce jeune provincial qui ne rêve pas encore de monter à Paris. Fils d’un modeste pharmacien, Lucien Chardon s’ennuie ferme dans son fief natal d’Angoulême, supporte mal sa condition sociale et aspire à rejoindre la « partie haute » de la ville et sa grande bourgeoisie. Grâce à l’aide de sa soeur, Eve, et de son beau-frère imprimeur, David, mais aussi à l’entremise de Sixte du Châtelet, qui voit, dans un premier temps, dans l’apprenti poète un moyen de conquérir Madame de Bargeton et d’arriver à ses fins politiques, le jeune homme parvient à s’introduire dans ce cénacle, à y faire résonner sa poésie – aux fondations faiblardes – et à emporter l’oreille et les faveurs de la dame d’Angoulême qui, pour échapper à son vieux mari, entend bien s’enfuir vers la capitale.
Pour traduire le relief de cette période faste qui, au regard de ce qui va suivre, à l’allure d’un temps béni, Émilien Diard-Detoeuf fait donc le pari osé, mais réussi, de l’opérette. En quatre actes et dix-sept airs, interprétés au piano par Sacha Todorov, le metteur en scène joue à fond la carte de ce style singulier, tout en respectant la totalité de ses codes, comme l’exacte parité entre les parties parlées et chantées. Sans jamais sombrer dans le ringard, au rythme des rengaines et des ritournelles qui, bientôt, deviennent entêtantes, au gré des rimes qui relèvent volontairement de la rimaille qui fait sourire, voire rire, c’est tout le petit théâtre de la « partie haute » d’Angoulême qui se fait jour, avec son côté un peu miteux, un peu bas de gamme, un peu médiocre, mais en même temps déjà cruel. Alors que la collection de personnages convoqués jouent les rôles que la société attend d’eux dans le petit théâtre de Guignol qui occupe l’essentiel de la scène, les faux-semblants et les dangers qui, plus tard, causeront violemment sa perte, semblent déjà menacer Lucien, pris, pour ne pas dire perdu, dans ce maelström tourbillonnant d’un monde dont il n’a ni les codes, ni les clefs. Tandis que l’intellectualisme parisien paraît bien loin, mais que la bassesse des hautes sphères est déjà là, notamment à travers ce choeur de nobliaux angoumoisins qui aspirent à la chute de ceux qui réussissent, l’opérette, rondement menée par Émilien Diard-Detoeuf et interprétée avec gourmandise, et un brin de folie encore sous le pied, par les comédiennes et les comédiens – à commencer par Elsa Grzeszczak, succulente en Madame de Bargeton vénéneuse et pathétique –, caractérise et singularise l’ensemble des personnages, et pose, en sous-main, les bases de ce que Lucien vivra à Paris.
Illusions perdues, traquenard contemporain
Fondées sur un même travail d’adaptation de l’oeuvre d’origine, aussi drastique que limpide, capable d’allier accessibilité et haute exigence, notamment de la langue, les Illusions perdues tricotées par Léo Cohen-Paperman, avec la complicité de Julien Campani à l’écriture, opèrent une double translation : vers la capitale, que Lucien rejoint en compagnie de Madame de Bargeton, et vers notre époque, dont avec ses tenues, ses accessoires et ses gimmicks – selfies, smartphones, cocaïne… – le metteur en scène reprend les codes. Scindé en trois étages, le plateau a l’allure d’une pyramide sociale, la forme d’une maison sociétale fragmentée où chaque pièce serait occupée par l’un des maillons d’une chaîne alimentaire : pendant que les intellectuels engagés, façon pauvres zonards, et Balzac, reconverti en cuisinier chez Flicoteaux – devenue une friterie –, se partagent le bas de l’échelle, les journalistes Emile Blondet, Etienne Lousteau et Andoche Finot campent à l’échelon intermédiaire avec l’auteur à succès Raoul Nathan, l’éditeur sans scrupules Dauriat et la comédienne Coralie, accompagnée de son pygmalion Camusot, et La Marquise d’Espard, avec ses airs d’Anna Wintour, trône tout en haut de l’édifice, avec Madame de Bargeton et Sixte du Châtelet en guise de modestes convives et tristes courtisans, passés maîtres dans l’art du faire-valoir.
Avec l’air de ces vautours assis sur leurs privilèges et prêts à dévorer la carcasse de ceux qui tombent au champ d’honneur, tous trois observent la meute de la strate du dessous, et en particulier Lucien de Rubempré, s’égayer, se battre et se débattre. Rejeté d’entrée de jeu par La Marquise d’Espard pour défaut de noblesse, le jeune homme trouve finalement sa planche (temporaire) de salut et sa voie d’accès à la haute société grâce au journalisme critique qui, dans cette période où les gazettes font florès, fait la pluie et le beau temps dans le monde du théâtre. En même temps qu’il s’amourache de Coralie, Lucien joue alors pleinement le jeu de ce monde sans foi, ni loi, où tout n’est que corruption, combinaison d’intérêts et renvoi d’ascenseur entre copains éphémères. Faute d’en maîtriser véritablement tous les codes, il ne tarde pas à s’y brûler les ailes, a péché par cet excès de naïveté propre au « petit provincial » qui, une fois monté à Paris, accède à des sphères qui vont s’empresser de le broyer.
Sans totalement larguer les amarres avec Balzac, Léo Cohen-Paperman et Julien Campani se plaisent alors, avec justesse et malice, à cultiver les jeux de miroirs entre ce monde et le nôtre, et avant tout celui des journalistes. Particulièrement bien dessinés, avec un caractère social sous-jacent clairement identifiable, qui tend à dépasser leur individualité, tous les personnages qui s’ébrouent dans ce marigot apparaissent venimeux et mus par une dynamique d’attraction-répulsion qui parvient à se propager jusque dans l’esprit du public. Par ce procédé scénique qui impose à toutes et tous d’être constamment en scène, Léo Cohen-Paperman réussit à créer un effet de masse, mais aussi d’engrenage. Si, au soir de la première, la proposition paraissait encore en phase de rodage, handicapée par cette segmentation scénographique qui réduit l’espace d’expression de chacune et de chacun et empêche les corps, et donc le jeu, de se déployer pleinement, tous les ingrédients sont présents pour qu’au fil des représentations, et a fortiori sur un plateau moins étroit lors de la tournée, cette comédie noire trouve toute son aisance et sa puissance, capables de générer ce cruel tourbillon qui propulse Lucien, avant de l’aspirer.
Splendeurs et misères, la rançon de l’audace
Contrairement à Illusions perdues qui, ces dernières années, a inspiré nombre d’artistes, à commencer par la metteuse en scène Pauline Bayle et le réalisateur Xavier Giannoli, sa suite directe, Splendeurs et misères des courtisanes, n’a pas connu le même destin. Il faut dire que l’oeuvre de Balzac à laquelle s’attaque Lazare Herson-Macarel est, avec sa galaxie d’innombrables personnages, encore plus retorse, et sans doute encore plus noire et complexe que celle qui la précède. Après être tombé en disgrâce, Lucien tente de surnager dans les bas-fonds de la société parisienne, avec l’aide du faux abbé Carlos Herrera, qui tente, en sous-main, de briser sa relation amoureuse avec Esther. Pour essayer de se refaire, le jeune homme, qui a perdu de sa superbe mais souhaite devenir riche, ambitionne de se marier avec Clotilde de Grandlieu. Pour emporter l’adhésion de ses parents, il doit amasser une fortune personnelle et suit les conseils de son sournois protecteur : faire chanter le baron de Nucingen en prostituant Esther dont le vieil homme s’est entiché, jusqu’à causer leur triste perte commune.
Pour adapter théâtralement ce monstre littéraire, Lazare Herson-Macarel est, comme Émilien Diard-Detoeuf et Léo Cohen-Paperman avant lui, contraint d’opérer des choix draconiens, sans doute moins habiles et féconds que ceux de ses deux compères. Sous sa houlette, les personnages de Splendeurs et misères des courtisanes sont relégués au rang de figures, tout de noir vêtues, leurs visages grimés en blanc ou recouverts d’un demi-masque noir. Dans ce bal de créatures cruelles, qui n’ont plus d’humain que leur coeur qui batte, toutes les relations sont, à plus ou moins grande échelle, intrinsèquement corrompues, à l’image de celle de Lucien et de Vautrin qui, d’entrée de jeu, semblent passer un pacte comparable à celui de Faust et de Méphistophélès, et ne peuvent déboucher que sur des coups de Trafalgar en cascade, qui précipitent vers l’abîme celles et ceux qui en sont victimes.
Comme pour prendre le contrepied de la scène particulièrement chargée d’Illusions perdues, et traduire le vide qui s’ouvre sous les pieds de Lucien, le metteur en scène fait le choix du plateau totalement nu, habité par un unique piano. Si sa proposition plastique s’avère, sans doute, la plus audacieuse des trois composantes de cette Comédie humaine, par sa radicalité esthétique comme par sa capacité à générer quelques belles images, son spectacle peine, sur la durée, à s’épanouir et à offrir à Splendeurs et misères des courtisanes toute l’ampleur qu’il mérite. Le jeu des comédiennes et des comédiens, toujours impeccable, en particulier celui de Kenza Laala, bouleversante en Esther, n’est pas en cause, mais l’ensemble, en dépit de son bel épilogue, ne trouve pas l’énergie scénique nécessaire pour imprimer un rythme convaincant. Tant et si bien que, par trop déconnecté du cadre naturel offert par Fontaine-Guérin, et émaillé de moments chorégraphiques hasardeux, il perd en limpidité, jusqu’à dissoudre Lucien et sa trajectoire en cloche dans un trop-plein de noirceur, dont, une fois englué, il ne pourra réchapper.
Vincent Bouquet – www.sceneweb.fr
Les Belles Illusions de la jeunesse
d’après Illusions perdues de Balzac
Adaptation et mise en scène Émilien Diard-Detoeuf
Musique Gabriel Philippot
Avec Valentin Boraud, Thomas Durand, Joseph Fourez, Elsa Grzeszczak, Frédéric Jessua, Kenza Laala, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Julien Romelard, Sacha Todorov
Scénographie Jean-Baptiste Bellon
Lumière Thomas Chrétien
Costumes Zoé Lenglare, Manon Naudet
Chorégraphie Georgia Ives
Maquillage et coiffure Pauline Bry
Régie générale et plateau Marco Benigno, assisté de Thomas Mousseau-Fernandez
Chef de chant Antoine Philippot
Régie son Lucas Soudi
Assistanat à la mise en scène Louise BachimontProduction Nouveau Théâtre Populaire
Coproduction Le Quai – CDN d’Angers, La Criée – CDN de Marseille, Théâtre de Caen, CENTQUATRE-PARIS, Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire
Avec le soutien du Théâtre de l’Aquarium et du Théâtre de la TempêteLe Nouveau Théâtre Populaire est subventionné par le ministère de la Culture – DRAC Pays-de-la-Loire, la Région Pays-de-la-Loire, le Département du Maine-et-Loire et l’Entente-Vallée (Beaufort-en-Anjou, Les Bois d’Anjou, Mazé-Milon, La Ménitré), et soutenu par les communes de Loire-Authion et de Baugé-en-Anjou et l’Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire.
Durée : 1h30
Festival du Nouveau Théâtre Populaire, Fontaine-Guérin
les 13, 16, 20, 23 et 27 août 2024La Criée, CDN de Marseille
le 2 octobre et en intégrale le 5 octobreThéâtre de la Tempête, Paris
les 6, 13 et 20 novembre, et en intégrale les 2, 3, 9, 10, 16, 17, 23 et 24 novembreLe Quai, CDN d’Angers
le 11 décembre et en intégrale le 14 décembreThéâtre de Caen
le 29 janvier 2025 et en intégrale le 1er février
Illusions perdues
d’après Balzac
Adaptation et mise en scène Léo Cohen-Paperman
Collaboration à l’écriture Julien Campani
Avec Valentin Boraud, Philippe Canales, Émilien Diard-Detœuf, Thomas Durand, Clovis Fouin, Joseph Fourez, Elsa Grzeszczak, Lazare Herson-Macarel, Frédéric Jessua, Kenza Laala, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Julien Romelard, Charlotte Van Bervesselès
Scénographie Jean-Baptiste Bellon
Lumière Thomas Chrétien
Costumes Zoé Lenglare, Manon Naudet
Son Camille Vitté
Maquillage et coiffure Pauline Bry
Régie générale et plateau Marco Benigno, assisté de Thomas Mousseau-Fernandez
Assistanat à la mise en scène Louise BachimontProduction Nouveau Théâtre Populaire
Coproduction Le Quai – CDN d’Angers, La Criée – CDN de Marseille, Théâtre de Caen, CENTQUATRE-PARIS, Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire
Avec le soutien du Théâtre de l’Aquarium et du Théâtre de la TempêteLe Nouveau Théâtre Populaire est subventionné par le ministère de la Culture – DRAC Pays-de-la-Loire, la Région Pays-de-la-Loire, le Département du Maine-et-Loire et l’Entente-Vallée (Beaufort-en-Anjou, Les Bois d’Anjou, Mazé-Milon, La Ménitré), et soutenu par les communes de Loire-Authion et de Baugé-en-Anjou et l’Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire.
Durée : 2h
Festival du Nouveau Théâtre Populaire, Fontaine-Guérin
les 14, 17, 21, 24 et 28 août 2024La Criée, CDN de Marseille
le 3 octobre et en intégrale le 5 octobreThéâtre de la Tempête, Paris
les 7, 14 et 21 novembre, et en intégrale les 2, 3, 9, 10, 16, 17, 23 et 24 novembreLe Quai, CDN d’Angers
le 12 décembre et en intégrale le 14 décembreThéâtre de Caen
le 30 janvier 2025 et en intégrale le 1er février
Splendeurs et misères
d’après Splendeurs et misères des courtisanes de Balzac
Adaptation et mise en scène Lazare Herson-Macarel
Avec Marco Benigno, Valentin Boraud, Philippe Canales, Émilien Diard- Detœuf, Thomas Durand, Clovis Fouin, Joseph Fourez, Elsa Grzeszczak, Lazare Herson-Macarel, Frédéric Jessua, Kenza Laala, Thomas Mousseau-Fernandez, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Julien Romelard, Sacha Todorov, Charlotte Van Bervesselès
Scénographie Jean-Baptiste Bellon
Lumière Thomas Chrétien
Costumes Zoé Lenglare, Manon Naudet
Son Camille Vitté
Chorégraphie Georgia Ives
Maquillage et coiffure Pauline Bry
Régie générale et plateau Marco Benigno, assisté de Thomas Mousseau-Fernandez
Assistanat à la mise en scène Janna BehelProduction Nouveau Théâtre Populaire
Coproduction Le Quai – CDN d’Angers, La Criée – CDN de Marseille, Théâtre de Caen, CENTQUATRE-PARIS, Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire
Avec le soutien du Théâtre de l’Aquarium et du Théâtre de la TempêteLe Nouveau Théâtre Populaire est subventionné par le ministère de la Culture – DRAC Pays-de-la-Loire, la Région Pays-de-la-Loire, le Département du Maine-et-Loire et l’Entente-Vallée (Beaufort-en-Anjou, Les Bois d’Anjou, Mazé-Milon, La Ménitré), et soutenu par les communes de Loire-Authion et de Baugé-en-Anjou et l’Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire.
Durée : 2h
Festival du Nouveau Théâtre Populaire, Fontaine-Guérin
les 15, 18, 22, 25 et 29 août 2024La Criée, CDN de Marseille
le 4 octobre et en intégrale le 5 octobreThéâtre de la Tempête, Paris
les 8, 15 et 22 novembre, et en intégrale les 2, 3, 9, 10, 16, 17, 23 et 24 novembreLe Quai, CDN d’Angers
le 13 décembre et en intégrale le 14 décembreThéâtre de Caen
le 31 janvier 2025 et en intégrale le 1er février
La Dernière nuit (Paradis / Purgatoire / Enfer)
Conception et mise en scène Pauline Bolcatto
Collaboration artistique Sacha Todorov
Avec Valentin Boraud, Philippe Canales, Émilien Diard- Detœuf, Thomas Durand, Clovis Fouin, Joseph Fourez, Elsa Grzeszczak, Lazare Herson-Macarel, Frédéric Jessua, Kenza Laala, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Julien Romelard, Sacha Todorov, Charlotte Van Bervesselès
Scénographie Jean-Baptiste Bellon
Lumière Thomas Chrétien
Costumes Zoé Lenglare, Manon Naudet
Son Camille Vitté, Lucas Soudi
Maquillage et coiffure Pauline Bry
Régie générale et plateau Marco Benigno, assisté de Thomas Mousseau-Fernandez
Assistanat à la mise en scène Janna BehelProduction Nouveau Théâtre Populaire
Coproduction Le Quai – CDN d’Angers, La Criée – CDN de Marseille, Théâtre de Caen, CENTQUATRE-PARIS, Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire
Avec le soutien du Théâtre de l’Aquarium et du Théâtre de la TempêteLe Nouveau Théâtre Populaire est subventionné par le ministère de la Culture – DRAC Pays-de-la-Loire, la Région Pays-de-la-Loire, le Département du Maine-et-Loire et l’Entente-Vallée (Beaufort-en-Anjou, Les Bois d’Anjou, Mazé-Milon, La Ménitré), et soutenu par les communes de Loire-Authion et de Baugé-en-Anjou et l’Association des Amis du Nouveau Théâtre Populaire.
Durée : 30 minutes
Festival du Nouveau Théâtre Populaire, Fontaine-Guérin
du 13 au 29 août 2024La Criée, CDN de Marseille
du 2 au 5 octobreThéâtre de la Tempête, Paris
du 2 au 24 novembreLe Quai, CDN d’Angers
du 11 au 14 décembreThéâtre de Caen
du 29 janvier au 1er février 2025
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