Vincent Garanger ouvre une nouvelle saison de notre rubrique du lundi matin, Soir de Première. Il sera cette semaine sur la scène des Bouffes du Nord avec Philippe Torreton dans Lazzi de Fabrice Melquiot.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Pas que les soirs de première.
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Le plus calmement et solitairement possible.
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Je suis terriblement « rituélique ».
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
Jamais pensé que c’était possible avant d’entrer Rue Blanche où, là, je me suis dit que peut-être…
Premier bide ?
J’ai oublié.
Première ovation ?
Celle dont je me souviens : par le public de Vire quand on a quitté le CDN.
Premier fou rire ?
Je me le suis toujours interdit.
Premières larmes en tant que spectateur, spectatrice ?
Peut-être pas les premières mais un flot en voyant La Cerisaie mise en scène par Alain Françon.
Première mise à nue ?
Toujours tout nu et toujours déguisé.
Première fois sur scène avec une idole ?
Roger Planchon
Première interview ?
Si peu doué pour ça, je n’en garde aucun souvenir.
Premier coup de cœur ?
Les « Molières » de Vitez. « En attendant Godot » par Krejca…
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