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Aucune émotion pour Partita 2

Agenda, Danse, Décevant, Festival d'Avignon, Les critiques

Anne Teresa de Keersmaeker et Boris Charmatz - © Christophe Raynaud de Lage

Ce devait être le couronnement du 67ème festival d’Avignon et des dix ans de direction du tandem Baudriller/Archambault. On est sorti déçu de cette Partita 2.  

Cela commence par un solo…musical de quinze minutes. La violoniste Amandine Beyer est plongée dans le noir et entame la Partita n°2 de Bach. On se dit que c’est une mise en bouche, qu’il va se passer quelque chose autour d’elle, que la Cour va petit à petit se réveiller. Rien. Elle reste dans l’obscurité. On sent monter l’impatience dans le public. Puis la violoniste disparaît. Anne Teresa De Keersmaeker et Boris Charmatz entrent en scène sur l’immense plateau. Un projecteur éclaire sur une large bande le mur côté jardin. En silence, les danseurs  enchainent des petits pas, des petits sauts. Boris Charmatz chantonne. Un spectateur l’imite en quittant la scène. Puis la violoniste revient. Anne Teresa De Keersmaeker continue d’occuper l’immensité de la scène, certes avec élégance, mais aucune émotion ne pointe.  

Stéphane CAPRON – www.sceneweb.fr  

Partita 2   

Sei Solo   

musique de Johann Sebastian Bach   

choréographie Anne Teresa De Keersmaeker   

musique Johann Sebastian Bach   

scénographie Michel François   

costumes Anne-Catherine Kunz   

assistanat artistique et direction des répétitions Femke Gyselinck   

coordination artistique Anne Van Aerschot   

avec Boris Charmatz, Anne Teresa De Keersmaeker   

et au violon Amandine Beyer   

production Rosas   

coproduction Festival d’Avignon, La Monnaie / De Munt (Bruxelles), Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Kunstenfestivaldesarts (Bruxelles), ImPulsTanz (Vienne), La Bâtie Festival de Genève, Berliner Festspiele, Théâtre de la Ville avec le Festival d’Automne à Paris, Fondation Calouste Gulbenkian (Lisbonne)   

avec le soutien du Musée de la danse/Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, des Autorités flamandes et de Middle Oak   

Durée estimée : 1h10   

Festival d’Avignon   

Cour d’honneur   

Du 23 au 26 juillet   

22h   

FESTIVAL D’AUTOMNE à PARIS   

THEATRE DE LA VILLE   

Mardi 26 novembre au dimanche 1er décembre   

mardi au samedi 20h30,   

dimanche 15h   

Le 15 janvier 2014 au Quartz à Brest

Le 16 janvier 2014 à Lorient

Les 17 et 18 janvier au Lieu Unique à Nantes

Du 23 au 25 avril au TNB à Rennes

24 juillet 2013/par Stéphane Capron
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2 réponses
  1. Jean-Christophe Paquier
    Jean-Christophe Paquier dit :
    27 juillet 2013 à 2 h 01 min

    Effectivement, aucune émotion ne pointe de ce spectacle affligeant de prétention stérile.

    Ce soir c’était la dernière, et les sifflets d’une bonne partie du public ont eu pour conséquence un discours hallucinant sur la scène du chorégraphe Charmatz se félicitant de la création par ce spectacle de « dissensus » propre à renforcer la démocratie (sic).

    Triste soirée pour le spectacle public …

    Répondre
  2. Heymann
    Heymann dit :
    3 août 2013 à 0 h 53 min

    Un plateau nu sans aucun décor , pas de lumière ou si peu… des costumes banaux… une chorégraphie d’art et d’ essai , ceci devant des centaines de spectateur , je me suis dit que la chorégraphie d’ Anna Teresa de Keersmaker n’avait pas dû couter très cher ..
    Si au moins elle avait permis d’élèver l’âme ou /et l’esprit , mais ça n’a pas été le cas .
    Alors pour la première fois au festival d’Avignon , j’ai pensé que c’ètait une belle arnaque….

    Répondre

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