A La Scala de Paris, Charles Berling s’empare de Calek, un texte d’après les mémoires de Calek Perechodnik. Le 1er décembre 1940, Calek Perechodnik et sa famille sont obligés de quitter leur logement à Varsovie et de s’entasser dans le ghetto de la ville. Il s’engage dans la « police juive » du ghetto.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui, irrémédiablement.
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Je marche.
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Très variable selon les pièces.
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
Je ne me le suis jamais dit, je le faisais.
Premier bide ?
Les mirabelles , Festival Avignon off 1982, Passage hagard. En scène, j’étais rouge de honte, heureusement j’étais maquillé en blanc.
Première ovation ?
Une pièce de Courteline, dans la cour du Lycée Dumont D’Urville à Toulon.
Premier fou rire ?
Avec Laurence Roy, dans Le retour de Harold Pinter, mise en scène Stuart Side 1985.
Premières larmes en tant que spectateur ?
La classe morte, de Tadeusz Kantor.
Première mise à nue ?
Roberto Zucco, Koltes-Martinelli.
Première fois sur scène avec une idole ?
L’école des femmes, avec Philippe Clevenot, mise en scène Bernard Sobel 1984.
Première interview ?
Le retour d’Harold Pinter, dans la Gazette de la ville de Caen.
Premier coup de cœur ?
Le regard du sourd, de Bob Wilson.
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