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Soir de Première avec Jeanne Mendoche

Actu, Festival d'Avignon, Nancy, Opéra
Jeanne Mendoche
Jeanne Mendoche

Photo Coline Miglio

La soprano Jeanne Mendoche s’est formée au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon auprès de Françoise Pollet avant de travailler avec Rosemarie Landry à Montréal. Elle a fait ses débuts à l’opéra à la Comédie de Valence, à l’âge de 18 ans. Elle figure dans la distribution du nouvel opéra de Samuel Achache, Les Incrédules, créé à l’Opéra de Nancy, avant d’être présenté au Festival d’Avignon.

Avez-vous le trac lors des soirs de première ?

Non, je n’ai jamais le trac. Plutôt une énergie entraînante, un grand focus et une concentration accrue.

Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?

Je prends soin à ce qu’elle ressemble à n’importe quelle autre journée, autant que possible, pour rester dans une énergie sereine. Car c’est comme ça que j’ai le mieux accès à mes ressources ensuite.

Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?

J’oscille entre nécessité d’être isolée dans mon terrier et besoin d’être exubérante, de danser comme une folle, de me dépenser et de faire l’andouille avec les collègues. J’ai souvent trop d’énergie à revendre, alors j’essaye de m’en débarrasser un peu. Je n’ai pas de superstitions.

Première fois où vous vous êtes dit « Je veux faire ce métier » ?

La première fois où j’ai été sur scène à jouer la comédie, j’avais 16 ans environ. Je chantais La serva padrona de Pergolèse pour un examen au conservatoire.

Premier bide ?

Je ne sais pas. J’en ai probablement fait, mais je n’ai pas dû m’en rendre compte car, quand je suis sur scène, je me sens toujours bien et contente d’être là.

Première ovation ?

Je pense à mon premier rôle : Gabriel dans La Vie parisienne d’Offenbach. Je me rappelle avoir eu un état de flow sur scène et avoir fait beaucoup rire la salle dans le rôle de la gantière en chantant les « rataplanplan » et les « froufroufroufrou », et, en effet, ce fut un succès.

Premier fou rire ?

Je ne me rappelle plus, j’en ai tout le temps.

Premières larmes en tant que spectatrice ?

Je ne me rappelle plus, je pleure tout le temps aux spectacles.

Première mise à nu ?

Ma première audition publique de piano quand j’avais 14 ans.

Première fois sur scène avec une idole ?

J’étais toute petite, j’avais peut-être cinq ans. Mon père m’a fait monter sur scène avec lui durant l’un de ses concerts de jazz. C’était mon anniversaire, je crois. J’étais très fière.

Première interview ?

Pour une émission canadienne, « Maître en musique », lorsque j’habitais à Montréal.

Premier coup de cœur ?

Mon piano.

16 juin 2025/par L'équipe de sceneweb
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