Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Hayet Darwich

#SDP, Théâtre

Hayet Darwich photo Avril Dunoyer

Diplômée de l’ERACM en 2013, Hayet Darwich a débuté sa carrière à l’étranger avec Bruno Fressiney et les italiens Ricci Forte. En France, elle travaille avec Gérard Watkins, François Cervantes et Bernard Bloch. Cette semaine, elle sera sur la scène du Théâtre de la Tempête, pour créer Amnesia de Sarah M.

Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
TOUJOURS. Le soir de première, pour moi, est toujours un événement exceptionnel…comme un mariage, tout mon corps tremble!

Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
J’essaye toujours d’économiser mon énergie en vue du soir, de me préparer psychologiquement et physiquement. Je me conditionne pour cet événement….J’ai du mal à faire autre chose !!! J’essaye de me faire du bien et c’est different à chaque fois : faire une balade, courir…

Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Oui. Je me chauffe toujours la voix et le corps. Je chante. Je respire. Je bouge. Et je prie, j’invoque (je vais passer pour un folle!!!) les esprits du théâtre…l’invisible…les ancêtres…tout ce qui pourrait me donner de la force

Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
J’avais douze ans. J’allais jouer Roméo et Juliette (surtout Juliette) au Théâtre Gérard Philipe de Saint Denis, avec l’atelier de mon collège. J’ai su à ce moment là que c’est ça que je voulais faire de ma vie!!

Premier bide ?
HUUUNNNN!!! J’en ai jamais eu je crois…je ne m’en souviens pas…Je ne dois me rappeler que des bons souvenirs !!! Une fois quand même…je faisais une lecture publique et PERSONNE n’est venue ! Je m’étais vraiment préparée car il y avait pleins de chansons, et ce soir là: personne !!! J’ai lu quand même devant le metteur en scène et l’autrice.

Première ovation ?
Aucune idée. C’est horrible de pas s’en rappeler,

Premier fou rire ?
A l’ecole on avait beaucoup de fou rire mais je crois que ça ne m’ai jamais arrivé devant un public.

Premières larmes en tant que spectatrice ?
Je ne sais pas si c’étaient les premières, mais j’ai un souvenir très fort, d’avoir pleur après un spectacle de cirque-clown. Je pleure souvent après les spectacles de clown. Je ne sais pas pourquoi…les clowns, quand c’est bien fait, viennent me toucher à un endroit profond et archaïque. C’est pourquoi j’ai tant aimé travailler avec Catherine Germain et Francois Cervantes.

Première mise à nue ?
Le théâtre c’est toujours une mise à nue ! Non ? Après si vous voulez parler du corps, en sortant de l’école j’ai travaillé avec les performeurs italiens Ricci et Forte, là le corps est mis à rude épreuve, c’est notre matière première, nu, cru, transpirant…

Première fois sur scène avec une idole ?
Anne Alvaro m’a invité à lire un texte avec elle une fois, c’était un très beau moment, j’avais adoré !

Première interview ?
A l’école, l’ERACM pour le journal de la ville, Nice Matin ou un truc dans le genre, j’ai encore la photo dans le fond d’un carton. Le titre devait être « acteurs en herbes » ou quelque chose comme ça…lol.

Premier coup de cœur ?
Adolescente ma prof nous avait emmené aux Bouffes du Nord et c’était le Hamlet de Peter Brook. C’est là où j’ai eu mon premier coup de coeur qui allait signer le fait que j’allais devenir comédienne.

1 mai 2023/par L'équipe de sceneweb
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Soir de Première avec Claude Degliame
Carole BellaicheJacques Bonnaffé: « Avant d’entrer en scène, je me donne une représentation mentale détaillée d’un cornet de frites en me récitant Montaigne »
Florence Viala
Vincent Garanger
Marina HandsMarina Hands
Roland Auzet met en scène Adieu la mélancolie d’après des textes de Luo Ying
Emmanuelle Hiron
Amandine Albisson dans Le Lac des cygnes Amandine Albisson
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut