Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Juste la fin du monde : force des mots féroces

À la une, A voir, Les critiques, Off, Paris, Théâtre

photo Chantal Depagne

Jean-Charles Mouveaux met en scène au Petit Louvre Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce avec, notamment, Philippe Calvario dans le rôle d’Antoine et Jil Caplan dans celui de son épouse.

Louis revient à la campagne quelques mois avant de mourir d’un mal qui le ronge. Lui, qui est parti il y a si longtemps, est accueilli par une famille passablement délaissée qui ne manque pas de le lui faire sentir. Les maux, les blessures les fractures dans les relations brûlent et s’ouvrent de nouveau.

Juste la fin du monde est un texte qui continue de fasciner. Son aura est d’autant plus brillante que Xavier Dolan en a fait un film l’année dernière. Et ce sont justement les mots qui nous marquent le plus dans la mise en scène de Jean-Charles Mouveaux car le jeu des acteurs et la mise en scène ne nous frappent pas de leur éclat, tout juste par leur authenticité.

Mais la pièce est toujours aussi bien faite, menée sans longueurs par Jean-Charles Mouveaux qui se donne le rôle de Louis. Un Louis sage et presque distant avec une touche de grandeur. La vie, les sentiments à vif et la brutalité viennent d’Antoine, le frère, qui est moins lisse que son épouse, sa mère et sa sœur – elle-même trop juvénile. Au final le moment est agréable et ne manquera pas de plaire aux amateurs du texte.

Hadrien Volle – www.sceneweb.fr

Juste la Fin du Monde
De Jean-Luc Lagarce
Mise en scène Jean-Charles Mouveaux
Avec Philippe Calvario, Jil Caplan, Jean-Charles Mouveaux, Chantal Trichet, Vanessa Cailhol
Durée: 1h30

Studio Hebertot
Du 26 avril au 30 juin
Du jeudi au samedi à 21h

14 juillet 2017/par Hadrien Volle
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Abigail’s Party, soirée pourrie
« Providence » : la trop grande attente d’un hédoniste déchu
L’envol de Bouchra Ouizguen
Marie NDiaye dans les coulisses du monde politique
Félicité Chaton rêve avec Lagarce
Amour et mort réunis par Toshiki Okada
Olivier Broda met en scène Juste la fin du monde (quelques éclaircies…) de Jean-Luc Lagarce
Alexandre Brasseur fait revivre Les Enfants du Paradis
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut