Jean-Michel Ribes, le directeur du Rond-Point est sous le choc. Hier il a fait évacuer son théâtre (les salles et le restaurant) par mesure de précaution. Ce soir le Rond-Point est fermé comme beaucoup de théâtreS en France, mais le metteur en scène se résigne pas à fatalité.
« Il faut se remettre debout très vite. C’est le plus grand hommage aux victimes. Mais on est dépassé par la capacité qu’on ces gens à tuer. Mais j’ai toujours envie de rire et de tailler en pièce ces matadors de l’enfer. Il faut que l’on se moque d’eux. On est là pour se battre avec nos armes, ce sont les armes de la liberté. »
Propos recueillis par Stéphane CAPRON
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