Après Les Précieuses ridicules qu’il a mis en scène avec Macha Makeïeff ou plus récemment Le Bourgeois gentilhomme, Jérôme Deschamps poursuit son exploration de l’œuvre de Molière avec L’Avare dont il endosse cette semaine le rôle-titre au TNP de Villeurbanne.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Pas particulièrement, je me prépare comme d’habitude à cette rencontre savoureuse.
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Comme avant une autre représentation. Je ne pense qu’à elle. Je revois mon texte et me repose au mieux dans cette perspective.
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Je suis sur le plateau 30 mn avant le lever de rideau. J’adore voir tout se mettre en place.
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
La première fois que je suis monté sur scène. À 16 ans, à Louis le Grand
Premier bide ?
Un Labiche dans une salle vide et sans chauffage…
Première ovation ?
La création de « Le Bonnet du Fou » au centre de la rue Blanche
Premier fou rire ?
Dans un Labiche dans une salle vide et sans chauffage…
Premières larmes en tant que spectateur, spectatrice ?
« Les Trois Sœurs » qu’avait monté Sacha Pitoeff au centre de la rue Blanche
Première mise à nue ?
Dans une baignoire à Neuilly
Première fois sur scène avec une idole ?
À la Comédie Française avec Jacques Charon
Première interview ?
France-Soir au centre de la rue blanche
Premier coup de cœur ?
Jacques Dufilho dans « la visite du château »
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