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Guillaume Mika dans l’institut Benjamenta de Robert Walser, une mise en scène de Frédéric Garbe

Agenda, Théâtre, Toulon
Geoffrey Fages

© Geoffrey Fages

Un jeune homme, Jacob Von Gunten, intègre une école pour devenir serviteur. Auréolé d’une prestigieuse réputation et d’un glorieux passé, l’institut Benjamenta semble aujourd’hui sur le déclin, comme atteint d’un mal mystérieux.

Les professeurs sont endormis et les élèves répètent leurs exercices comme des automates. Les pensionnaires disparaissent, quittant un à un l’institut. Cette école est dirigée par M. Benjamenta, colosse mystérieux, autoritaire et effrayant, et par sa jeune soeur, Mlle Benjamenta qui exerce une grande fascination sur les élèves.

Avec ses camarades de classe Jacob va faire l’apprentissage de son métier de serviteur, entre abnégation et révolte. Mais il n’a de cesse de vouloir comprendre le mal qui ronge les lieux et ses habitants. Comme un espion, il guette, fouille et tente de percer les secrets de l’institut. Il vient faire le rapport de ce qu’il a vu, vécu et compris et fait état de sa propre mutation, de ce que cette non-éducation opère comme changements en lui. Il se considère plus intelligent, plus sensible que les autres élèves et en tire une supériorité. Mais il admire ses camarades, leur abnégation, leur soumission qui fait d’eux des héros à qui il voudrait ressembler : vouloir ne plus rien vouloir, ne plus rien attendre. « Devenir un parfait zéro ». Il subit autant qu’il aime cet emprisonnement mental.

L’institut est comme une machine à fabriquer des serviteurs et à tuer les individualités pour faire de ces jeunes garçons des soldats dont la servilité sera absolue.

L’institut Benjamenta de Robert Walser

Mise en scène : Frédéric Garbe.

Jeu : Guillaume Mika.

Sculpture papier, collaboration artistique, scénographique et vidéo : Pauline Léonet.

Musique : Vincent Hours.

Régie générale : Jean-Louis Barletta.

Création vidéo : Caillou M. Varlet

Création lumière/construction décors : Ivan Mathis.

Traduction : Marthe Robert.

Production L’autre Compagnie
Coproduction scène nationale Liberté-Châteauvallon
Spectacle accueilli en résidence dans le cadre du dispositif « Plateaux Solidaires » d’ARSUD.
Avec le soutien de la Ville de Toulon, de la Métropole Toulon Provence Méditerranée, du Département du Var, de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Scène nationale Liberté-Châteauvallon
13 et 15 janvier 2022

13 janvier 2022/par Dossier de presse
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