Dakhla d’Abou Lagraa
Trois ports pour un quatuor. Avec deux hip hopeurs et deux danseurs contemporains de sa compagnie La Baraka, Abou Lagraa, assisté de son épouse Nawal, invite le public à un voyage chorégraphique entre Hambourg, Alger et New York.
Chacune des trois villes est une porte ouverte sur un continent : les sons électroniques de la scène techno allemande, le chaâbi — la musique arabo-andalouse algéroise —, les chansons ave l’accent de Fernandel, et l’énergie d’un hip hop né il y a quarante ans sur les trottoirs du Bronx. De l’Afrique à l’Europe, de l’Amérique au bassin méditerranéen, Abou Lagraa brasse les lumières, les rythmes et les cultures dans un métissage revendiqué, qui s’incarne jusque dans ses interprètes. Venu du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Liban ou d’Italie, chacun d’eux apporte à cette déambulation, la richesse de sa danse et de sa personnalité. Quant au mot Dakhla, qui signifie « entrée » en arabe, c’est le nom d’une ville marocaine posée au bord de l’Atlantique. Une porte ouverte sur le rêve d’un monde sans frontières.
Dakhla
Chorégraphie Abou Lagraa
Production Cie La Baraka. Coproduction Théâtre de Suresnes Jean Vilar / Suresnes Cité Danse 2017.
Avec le soutien du CCNR – direction Yuval Pick, pour le prêt studio.Suresnes Cité Danse – janvier 2017
jeudi 12 janvier à 21:00
vendredi 13 janvier à 21:00
samedi 14 janvier à 18:30
dimanche 15 janvier à 15:00
lundi 16 janvier à 21:00
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