Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Ça disparait de Rémy Berthier et Matthieu Villatelle

Cavaillon, Théâtre

Sur scène, deux illusionnistes. Sans vraiment se poser de questions ils font apparaître, disparaître, ils téléportent, ils transforment. Mais pourquoi ? Ils ont bien du mal à répondre à cette question, ils ne sont pas d’accord. Et il n’y a pas que cette question qui les divise. Entre ces deux là tout est sujet à débat et à détournement. Où ça va quand ça disparaît ? Est-ce que ça disparaît vraiment ? Et si je regarde ailleurs, ça a disparu ?

Si l’un pense que les choses disparaissent vraiment, l’autre se dit qu’elles sont juste cachées… Mais les dinosaures sont cachés où ? Dans un double fond ? Et si c’est le magicien qui fait disparaître les choses, c’est aussi lui qui fait disparaître les forêts ?

Les magiciens retrouvent souvent ce qu’ils ont fait disparaître. Mais tout ce qui disparaît n’est pas toujours retrouvé. Si deux magiciens décident de disparaître en spectacle, est-ce qu’ils prennent le risque de ne jamais réapparaître ?

Ça disparait

Conception du projet : Rémy Berthier et Matthieu Villatelle

Collaboration artistique : Didier Ruiz

Interprétation : Rémy Berthier et Matthieu Villatelle ou Chloé Cassagnes (en alternance)

Scénographie : Kapitolina Tcvetkova-Plotnikova

Création lumière : Maurice Fouilhé

Création son : Dylan Foldrin

Collaboration technique : Yann Struillou

Régie : Camille Faye ou Franck Rousseau

Production executive : Cie Stupefy – Yasna Mujkic et Rémy Berthier

Diffusion : Label Saison – Gwénaëlle Leyssieux.

Production : Projet produit par les compagnies du Faro et Stupefy unies en SEP.

Production executive : Compagnie Stupefy (www.stupefy.fr)

Coproductions : La Garance – scène nationale de Cavaillon, Le Théâtre de Rungis, Le Totem – scène conventionnée d’intérêt nationale Art, Enfance, Jeunesse, Avignon, Initiatives d’artistes – La Villette, Paris

Soutiens : Ministère de la Culture – Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, Ville de Paris, Région Île-de-France, Département de l’Essonne, Réseau CirquEvolution, La Villette, Paris et la Compagnie Le Phalène – Thierry Collet dans le cadre du festival Magic Wip, la ville de Saint-Germain-lès-Arpajon.

Création à La Garance à Cavaillon
Le 7 décembre 2023 19h

10 novembre 2023/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Un longue peine de Didier Ruiz: quand des détenus racontent leurs années de détention
2014 comme possible de Didier Ruiz
2013, comme possible ou le portrait de l’adolescence en 2013
Les Apéro-Polar de Didier Ruiz pour l’été
Didier Ruiz met la mort à plat
Festival « C'est pas du luxe ! » 2024 « C’est pas du luxe ! », l’autre Festival d’Avignon
Didier Ruiz met en scène L’Amour en toutes lettres
Céleste, ma planète, allégorie écologique
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut