Pelléas et Mélisande sombrent dans le sombre
Au Festival d’Avignon, Julie Duclos signe une version bien terne et trop littérale de Pelléas et Mélisande, le chef-d’oeuvre crépusculaire de Maurice Maeterlinck. Ce sont d’abord les paysages en noir et blanc d’une nature brumeuse, vertigineuse, forcément adversative qui défilent sur un large écran. Puis une forêt, verdoyante, dont les feuilles dansent légèrement au gré […]