Annie Grégorio est une fidèle de la troupe de Jean-Michel Ribes depuis Théâtre sans animaux qui lui a valu un Molière en 2002, puis il y a eu Les Diablogues de Roland Dubillard, et Les Nouvelles brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio. Elle retrouve les planches du Théâtre du Rond-Point avec J’habite ici, la nouvelle comédie de Jean-Michel Ribes. Voici son interview, Soir de Première.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui. Je l’ai tous les soirs de représentation, et surtout les soirs de Première.
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Enfermée chez moi toute seule à ne voir personne.
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Je prie.
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier » ?
Après une représentation, enthousiasmée par le public qui avait apprécié, je me suis dit : « C’est le métier que je veux faire. »
Premier bide ?
Vous plaisantez : je n’en ai jamais eu !
Première ovation ?
Pour un spectacle, dans le sud-ouest, qui s’appelait « J’ai vingt ans, je t’emmerde ».
Premier fou rire ?
Pendant ce même spectacle.
Premières larmes en tant que spectatrice ?
A Bobigny, pour « Partition inachevée pour piano mécanique » avec Marcello Mastroianni.
Première mise à nue ?
Je ne comprends pas la question.
Première fois sur scène avec une idole ?
« Une folie » de Sacha Guitry avec Robert Hirsch.
Première interview ?
Quand je suis arrivée à Paris, pour le spectacle « Dernier show en Cochinchine », une interview avec Bruno Perroud.
Premier coup de cœur ?
Quand j’avais 12 ans, j’ai vu à la télévision « La Mégère apprivoisée » avec Rosy Varte et Bernard Noël.
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