Pour la troisième année consécutive, le Théâtre de la Bastille arpente les amples territoires de la danse contemporaine, des narrations corporelles de Sofia Dias et Vítor Roriz aux rythmes ancestraux éprouvés par Olivia Grandville, des mystères végétaux orchestrés par Madeleine Fournier aux machines chorégraphiques composées par Liz Santoro et Pierre Godard.
Du 24 au 29 février :
Ce qui n’a pas lieu de Sofia Dias et Vítor Roriz nous emmène dans un territoire où le sens à la fois échappe et est sans cesse sollicité, explorant la pure tonalité rythmique et la puissance imaginaire des gestes et des mots.
À l’Ouest de Olivia Grandville part sur les pas du compositeur Moondog au cœur des réserves autochtones du Canada et d’Amérique du Nord, où la chorégraphe noue un dialogue entre son propre langage et les danses de pow-wow.
Du 3 au 6 mars :
Labourer de Madeleine Fournier creuse la mémoire du corps pour déterrer et égrener patiemment les gestes ancestraux qui nous traversent encore.
Maps et Stereo de Liz Santoro et Pierre Godard composent et recomposent une partition en forme d’algorithme où les corps d’abord contraints révèlent leur liberté d’interprétation jusqu’à atteindre un intense état de joie.
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