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Rendons-nous l’art par Sonia Leplat, directrice de la Maison des Pratiques Artistiques Amateurs

À la une, Actu, Paris

Sonia Leplat @ Guillaume Borgnet

Sonia Leplat est la directrice de la Maison des Pratiques Artistiques Amateurs depuis septembre 2017. Après une formation en sciences humaines, sa passion pour le spectacle l’entraîne dans plusieurs aventures artistiques en tant que responsable des relations publiques, puis administratrice . L’ouverture d’un lieu et la création d’un festival dédié aux écritures contemporaines révèlent des préoccupations tournées vers la pratique artistique, le lien au territoire, la légitimité de toutes et tous en matière d’accès aux œuvres et de droit à l’expression. Fonctionnaire territoriale, elle a travaillé près de 10 ans en Seine-Maritime au service de politiques culturelles locales. Nous publions sa tribune Rendons-nous l’art, écrite cet été.

Le modèle de nos politiques culturelles nous prive-t-il de créativité ?

Les personnes, les individus, sont privés d’art. Je le constate un peu plus chaque jour. Privés d’art et tus de culture, muets d’expression. L’art est populaire. Essentiellement humain, puis populaire. Il provoque le collectif, il ose le faire pour dire, pour montrer, pour être ensemble. Il ose la reproduction conjuguée à l’audace de la réinterprétation et ne se met jamais à l’abri d’une idée neuve.

L’art implique, il stimule. Il induit une action et une disponibilité de réception. Il inspire tout de suite émotions, larmes ou rires, ennui. Il est question du temps présent et du lieu commun. C’est là, on prend. On reçoit, ou pas. On sait où on en est, avec l’art.

La culture est un puits sans fond. Elle est ce qui se conquiert sans fin. Elle est infinie. Elle ne se définit pas. Pas clairement. Elle est excluante. Elle divise. Elle satisfait les plus érudit·e·s qui se reconnaissent entre eux, quand elle/ils ne s’affrontent pas, et qui s’efforcent de rendre médiocre ce qui ne relève pas de leur expertise, ce qui échappe à la maîtrise d’un seul esprit. La culture est excluante. Elle divise.

N’en déplaise à Malraux, nous n’aurons jamais tous et toutes accès aux « œuvres capitales de l’humanité». Trop nombreuses. Trop loin. Elles ne nous intéressent pas, c’est-à-dire, étymologiquement, elles ne nous endommagent pas, elles ne nous touchent pas comme une blessure qui marque à jamais ; pour revenir à une acception du mot plus récente, elles ne nous concernent pas. Le choc artistique ne se décrète pas. La hiérarchie des œuvres n’a aucune valeur universelle. Elle permet de s’y retrouver sans doute, de partager mieux aussi, et de faire référence. Mais fondamentalement, les politiques culturelles ont créé une répartition sans appel en opposant les « gens de culture », à celles et ceux qui « n’en ont pas ».

Avec quelques nuances tout de même : bien-sûr il est inconçu de ne pas avoir de culture ou de tout savoir sur tout. Mais il est communément admis qu’au sein d’une société (aujourd’hui on dit territoire), les personnes sont plus ou moins lettrées, possèdent plus ou moins de culture générale, ont fait plus ou moins d’études et répondent plus ou moins à des attentes minimales du vivre ensemble (parler la même langue, se soigner, se nourrir, se vêtir, éduquer d’une façon similaire ou proche, connaître l’Histoire et les rudiments de la citoyenneté.)

De guerre lasse, et par frottement avec les politiques territoriales, la politique culturelle reconnaît l’immanence du cloisonnement socio-culturel. Malgré le volontarisme de services publics en faveur de la culture accessible, malgré l’école gratuite, laïque et obligatoire, malgré la culture dite de masse et l’avancement des droits d’un siècle à l’autre, les inégalités demeurent. Les politiques culturelles agissent en faveur des populations « éloignées de la culture » ou « éloignées de l’offre culturelle ». Je n’y crois pas. En tout cas pas dans le premier cas. Comment agir efficacement sur la base de l’éloignement d’une personne à un concept ? Il faudrait peut-être dire « éloignés de MA culture », ou de l’offre culturelle que J’AI conçue pour les autres. Et après tout pourquoi pas ? J’ai le droit de proposer ce que je crois bon. Et autrui a le droit d’y adhérer. Mais en connaissance de cause. Et je tiens à affirmer qu’il faut faire attention aux mots qu’on emploie. On ne peut pas revendiquer la culture au sens des beaux-arts et de l’esprit et se poser si peu la question du vocabulaire. C’est comme se revendiquer humaniste et féministe et refuser les mots épicènes et l’écriture inclusive, mais c’est une autre histoire.

Revenons sur cette notion d’éloignement de personnes à un concept. Et aux raisons qui font que je ne crois pas à l’efficacité d’actions publiques, si bienveillantes soient-elles, pour concerner les publics qu’elles qualifient elles-mêmes d’éloignés :

– Soixante-dix ans de politiques culturelles modernes n’ont eu que peu d’efficacité au regard du nombre de personnes impactées. Sans vouloir ici refaire l’histoire de la démocratisation / démocratie culturelles et même si je crois beaucoup aux droits culturels, et à des offensives majeures que sont ou que pourraient être l’éducation artistique et culturelle, je crois que nous entretenons un modèle descendant qui ne se pose pas suffisamment honnêtement la question de ses finalités et de leur articulation avec les autres politiques publiques. On nous demande de faire de la culture en mettant de côté les bons morceaux, de faire du bon avec du pas cher, de produire bio et local, le tout pour un banquet sans limite de convives.

– Ce modèle s’appuie sur une culture circonscrite aux œuvres d’art et à leur accès et n’envisage pas ou pas encore assez sa dimension anthropologique ;

– Cette politique culturelle exclut l’art et la pratique artistique.

La politique culturelle existante a tendance à rendre légitime le savoir et suspicieuse la participation. En tant que directrice de la Maison des Pratiques Artistiques Amateurs, cela me pose question.

La pratique artistique amateur m’oblige à réfléchir aux limites de ce qui « se fait » ou ne « se fait pas ». D’un point de vue artistique mais aussi éthique, ce qui est reconnu comme pratique artistique culturelle, c’est-à-dire qualitative, exigeante et digne d’accès.
A quel moment je ne suis plus dans l’art mais dans le loisir ?

A quel moment je ne suis plus dans la culture mais dans le populaire ?
Quelle frontière avant de basculer dans le populisme ?
A quel moment puis-je refuser qu’un artiste agisse avec des amateurs comme s’il s’agissait de reproduire la recette parfaite ?

La pratique artistique amateur est ce que l’équipe de la MPAA porte, développe, encourage, initie, développe, valorise. Elle est aujourd’hui le seul établissement qui relève de trois secteurs prouvant ainsi qu’ils ne sont pas antithétiques :

– La création
– La transmission – Les loisirs

Appartenir autant au Ministère de la Culture, qu’à celui de l’Éducation, qu’à celui de la Jeunesse. Sans aucun état d’âme.
Travailler à la MPAA c’est soudain se souvenir d’où vient l’énergie. Du plaisir d’être sur scène, ou en cercle ou tous ensemble. Et chanter, danser, jouer, applaudir.

En dissociant art et culture, en malmenant le premier pour glorifier le second, on se coupe de l’essentiel : l’humanité, l’expression, l’invention.

La culture est un sport exigeant. Elle requiert une maitrise des règles, des codes, et une pratique quotidienne, afin de pouvoir mesurer le progrès de ses performances. On se doit de connaître les œuvres, leur histoire, l’histoire de leurs auteurs (je n’ose dire autrices, la culture est conservatrice), les courants historiques et politiques de leur époque, leur contexte.

La culture se pratique comme un sport, un peu plus chaque jour, une connaissance après l’autre, la connexion entre elles, des révélations galvanisantes, comme courir son premier semi-marathon. Mais sitôt les 20 km courus, profite-t-on du plaisir ou fixe-t-on déjà le challenge des 42,195 km … ?

Je pratique ce sport, la culture. Par goût, par curiosité. Par habitude aussi, par obligation professionnelle. Je suis ce qu’on appelle une actrice culturelle. Je ne crée pas au sens artistique, je crée au sens de possible, je participe – avec un cahier des charges on ne peut plus précis – à l’orientation et au développement des politiques culturelles.

On peut accéder à la culture à force de travail, mais elle en quelque sorte extérieure à soi. D’où la certitude que définitivement il n’y a pas la culture mais les cultures, toutes aussi légitimes les unes que les autres.

Mais si j’en suis là, c’est bien par goût de l’art à la base. On ne rêve pas de devenir directrice d’EPCC, en revanche on rêve de littérature, de théâtre, de paillettes et de musiques, d’œuvres monumentales, de rassemblements populaires.

Éloignés de la pratique artistique, les individus sont privés de leur expression intime et collective, et donc de ce qui fait humanité, car cette expression associe des mots, des idées, des sons et des matières pour dire, en dehors de tout besoin biologique. Je ne dis pas besoins essentiels à dessein car elle est bien notre essence l’humanité qui nous permet d’écouter et de reprendre en chœur, de monter sur scène pour donner à voir et à entendre et de nous réjouir d’une création. Humanité qui fait qu’en tous temps on a célébré par l’art les plus grandes peines, les plus grandes joies, dans des cercles intimes ou élargis.

Je pratique ce sport, la culture. Par goût, par curiosité. Par nécessité aussi, par obligation de m’ « en » sortir. Être en représentation c’est aussi se voir soi-même, et accepter ou pas l’image renvoyée.

Mon père chantait de l’opérette, il était clown, et jouait de la trompette. D’oreille. Pas de partition. Pas de ça chez nous. Pas de musées non plus, peu de livres. Je me suis échappée grâce aux quelques-uns que j’ai trouvés et qui m’ont permis de choisir les autres. Alors j’ai tout lu. J’ai voulu jouer, j’ai fait du théâtre. Grâce à l’école, ce phare dans la nuit.

J’ai eu un synthétiseur dans les années 90, grâce à la télévision et à Indochine.
J’ai chanté. Je ne m’en rappelle plus l’origine, j’ai toujours chanté. Mais je ne maitrisais pas les codes. Mes chansons n’étaient pas issues des bons répertoires, mon environnement n’était pas adéquat et je l’avais compris. Pour réussir il fallait atteindre la culture. Par la pratique artistique, je me complairais dans le plaisir, et je devrais affirmer ma condition (comme chez Balzac ou Zola) ; si j’épousais la culture, je réussirais, je deviendrais quelqu’un, je m’en sortirais.
J’ai eu honte de ma culture, j’ai arrêté l’art.

La pratique artistique amateur se fout des politiques culturelles, et elle a bien raison. Elle n’en fait pas partie, mais elle n’en a pas besoin au fond. Les villages ont tous leur scène, même sans moyens, leur salle des fêtes, leurs hommages, leur folklore. Les familles ont leur répertoire. Un oncle à la guitare, une belle-mère qui peint, des paroles qu’on répète toute petite, avant de les comprendre souvent des années plus tard. D’accord ou pas, la transmission est faite et l’air trotte à jamais dans la tête.

Heureusement, la politique culturelle ne se fout pas complètement de la pratique en amateur. De manière sporadique (si l’on compare les moyens avec ceux investis dans d’autres politiques publiques), des femmes et des hommes accélèrent les processus et créent les CLEC, les Maisons pour Tous, les clubs, les Maisons Folies, les MJC, les Maisons d’Art, des lieux magiques pour beaucoup de celles et ceux qui ont fréquenté ces endroits dédiés à l’art tel qu’il est et non pas comme il doit être.

Alors, oui, parfois c’est moche. C’est dissonant.
Rien n’empêche d’aller à l’opéra se laver les oreilles.
Aller ou ne pas aller à l’opéra ? Est-il question de cela ou de l’image qu’on s’en fait ?

J’ai voulu – je veux encore – (ré)concilier l’art et la culture. J’ai toujours été une médiatrice. Mais plus seulement entre l’œuvre et le public, entre le légitime et l’inculte.
Entre les gens oui, entre les possibles, pour créer le déplacement.

On peut maîtriser la culture, la connaître.
On peut maîtriser des cultures, les connaître.
On est à l’extérieur, on est libre d’aller et venir et de créer des ponts.
Si on pratique, on est dedans, on participe. On est. Comme autant de projets qui vivent et meurent.
Et que surtout l’un n’empêche pas l’autre.

On peut vivre sans les œuvres capitales de l’humanité. On ne peut pas vivre sans chanter. J’ai gardé mon synthé.

Sonia Leplat – juillet 2019

12 septembre 2019/par Dossier de presse
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1 réponse
  1. François Bechu
    François Bechu dit :
    16 septembre 2019 à 23 h 33 min

    Bonjour
    J’avoue je n’ai pas tout lu car il est tard, mais je lirai.. Je pense aujourd’hui culture veut dire amateur (celui qui aime) et Amitié ou même Amythié comme disait Perros.Lest problème est fort grave. Moi qui fait du bio local je ne suis plus sur les présentoirs des vitres officielles À 95% les directeurs de théâtre sont des remplisseuse de salles carriéristes, des fabriquants d’ornieres comme disait Molière. Beaucoup de choses dure là dessus… Venez nous voir à Laval
    http://www.theatrelechappee.com
    Bien à vous
    François BECHU 06 08 77 06 51

    Répondre

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