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Transe de Danielle Gabou

Agenda, Danse, Paris

La femme comme symbole d’une quête sociale toujours en mouvement. La difficulté d’être une femme et plus largement la difficulté d’un être humain dans nos sociétés contemporaines. Cette femme est proche de mon histoire personnelle mais je ne suis pas cette femme. Je me nourris de mes expériences pour poser des questions. Pour tenter de comprendre. La scène me permet de vivre, de lutter. Le climat de crise actuelle fragilise mes résistances mais n’atteint pas mes convictions.

Il me serait difficile de continuer de vivre sans la scène. Car vivre pour moi, c’est inventer des formes où l’on peut parler à l’autre. Ces formes peuvent avoir comme point de départ un mot, un geste, un souvenir. Vivre pour moi, c’est vivre en paix parmi les autres dans une histoire commune.

Ce qui me pousse à vouloir réaliser ce projet est la question de l’héritage. Donc la France puisque je suis née en France mais aussi l’Afrique puisque mon père est né en Afrique. Je dois trouver « l’image », « le mouvement » de ce double regard dans le patrimoine culturel Français et Africain. Bien au-delà de l’héritage familial. Il ne s’agit pas de raconter mon histoire personnelle mais de toucher l’intime par l’universel.

L’œuvre de Jean Rouch me permet d’approcher ce que je recherche. Il a filmé dans différents pays d’Afrique dès 1950 et il était Français. Cela fait plus d’un an que je regarde tous les films que j’ai pu trouver de Jean Rouch.

Un film a retenu particulièrement mon attention. Il s’agit de Mamy Water un documentaire sur les pêcheurs ghanéens tourné en 1958. A partir de ce documentaire, je poursuis ma recherche ayant comme cible le mouvement, le mot, le son. Mes intentions sont de découvrir et d’interroger la valeur de l’héritage des films de Jean Rouch. Peut-on construire une histoire commune grâce au patrimoine culturel ethnographique laissé par Jean Rouch ? Quelle vision avons-nous de l’Afrique d’hier et celle d’aujourd’hui ? Jean Rouch a créé un œuvre à partir du vivant, de l’existant. De la rencontre avec l’Autre. Il a approché des vies, des corps en mouvement dans une société.

Note d’intention de Danielle Gabou d’après dossier de presse.

Transe

Création à Chaillot

Avec le film de Jean Rouch Mammy Water (1956)

Conception

Danielle Gabou

Coordination du projet

Jean-Yves Camus

Chorégraphie

Julien Ficely

Musique

Marco Marini

Vidéo, lumières

Olivier Bauer

Costumes

Rachel Brayer

Avec Danielle Gabou

Production Compagnie Sans Sommeil

Coproduction Théâtre National de Chaillot / Centre chorégraphique national Ballet de

Lorraine / Théâtre Ici et Là – Mancieulles

Mécénat – Roger M’Bengue – Architecte DPLG Paris/ Abidjan.

Théâtre National de Chaillot

Durée 40 minutes

Théâtre National de Chaillot

Salle Maurice Béjart

Du 5 au 9 novembre 2013

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, 20h30

Samedi, 17h

2 novembre 2013/par Dossier de presse
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