Valérie Lang est partie en laissant une masse profuse d’écrits disparates. Elle écrivait, selon les mots de Stanislas Nordey, de façon compulsive et souterraine. On peut donc découvrir, aujourd’hui, qu’elle engageait aussi, envers et contre tout, son corps d’actrice dans l’écriture. Valérie Lang avait et était un corps de bataille : elle assumait l’existence, jusqu’à l’extrême.
Valérie Lang, un corps de bataille
mercredi 14 juin à 20h / Grande salle de l’Odéon Théâtre de l’Europe
une soirée imaginée par Stanislas Nordey
lectures par Josiane Balasko, Stanislas Nordey, Pascal Rambert
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