Eric Elmosnino a débuté sa carrière au théâtre avec Jean-Pierre Vincent, aux Amandiers de Nanterre à sa sortie du Conservatoire, il jouera Molière, Musset, puis Shakespeare avec Laurent Pelly ou Tchekhov avec Alain Françon. Puis il glisse petit à petit vers la comédie. Il retrouve le duo d’auteurs, Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière pour lequel il avait jouée en 2014, Un diner d’adieu. Ils le mettent en scène dans 1h22 avant la fin à La Scala Théâtre.
Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui
Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
Je m’arrête de boire plus tôt
Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Je suis dans ces moments là dramatiquement sans habitudes. Sauf celle d’être de mauvaise humeur. Je peste.
Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
En regardant Didier Bourdon dans le Petit Théâtre de Bouvard. Je refaisais ses sketchs devant le miroir de la salle de bain.
Premier bide ?
Années 90. Un spectacle qui durait trois heures. On était 10 sur scène et très heureux du spectacle. En général on commençait à 12 spectateurs et on en perdait la moitié à l’entracte.
Première ovation ?
Les Fourberies de Scapin avec Daniel Auteuil, dans la cour d’honneur du Palais des papes au Festival d’Avignon
Premier fou rire ?
Sur scène, avec François Berleand aux Célestins à Lyon. C’est fantastique un instant, puis atroce!
Premières larmes en tant que spectateur ?
L’incompris, de Comencini.
Première mise à nue ?
Peer Gynt, dans la Cour d’honneur du Palais des papes à Avignon. Avec mes 60 kg et ma quequette à l’air, j’affrontais 2000 personnes.
Première fois sur scène avec une idole ?
Avec Jean-Paul Roussillon dans Ivanov.
Première interview ?
Dans ciné revue pour A nous les garçons. A l’Olympia, avant le concert de Philippe Lavil.
Premier coup de cœur ?
La Danse du Diable, Philippe Caubère. À Suresnes, en 1985.
Laisser un commentaire
Rejoindre la discussion?N’hésitez pas à contribuer !