Never, never, never. C’est par cette citation de Shakespeare que répondait l’Esprit – invoqué un soir de 1956 lors d’une séance de spiritisme – au poète britannique Ted Hughes et à son épouse la poétesse américaine Sylvia Plath, lesquels lui avaient demandé quel [était] le plus grand vers jamais écrit par un poète anglais.
Une longue nuit de 1984 – veille du jour où il va se voir décerner le titre de poet laureate – Ted reçoit tour à tour la visite de deux femmes : son épouse Sylvia, morte suicidée vingt et un ans plus tôt, et Assia, « l’autre femme », qui remplaça – ou plutôt ne remplaça pas – Sylvia et qui se tua, elle aussi, six ans plus tard, tandis que grandissait la célébrité posthume de la première.
Cette nuit-là, une porte s’ouvre…Dossier de presse.
NEVER, NEVER, NEVER
De Dorothée Zumstein
mise en scène Marie Christine Mazzola // avec : Thibault de Montalembert // Sarah Jane Sauvegrain // Tatiana Spivakova.
Scénographie, Sarah Lee Lefèvre // composition musicale Benoit Delbecq //création lumière Pierre Gaillardot //Théâtre Studio Altforville
27 mars – 1er avril 2017
Du lundi au samedi à 20h30
Relâche le dimanche
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