Madeleine ce qui n’est pas à l’amour est autant de perdu.
« Cote 146 » Lettre de Guillaume à Madeleine du 2 juillet 1915
Apollinaire
d’après les correspondances de Guillaume Apollinaire et Madeleine Pagès (d’avril 1915 à septembre 1916)
1915, Guillaume Apollinaire prend le train en gare de Nice. Il rencontre une jeune femme, Madeleine Pagès. Les deux voyageurs se plaisent, parlent poésie, échangent leurs adresses.
Si la correspondance de Guillaume Apollinaire à Lou est universellement connue, celles de Madeleine et ses récits plus secrets sont d’une sensibilité exceptionnelle. Aux fantasmes flamboyants de Guillaume, Madeleine a apporté une réponse féminine subtile et ardente. Sa personnalité et la finesse de son écriture expliquent aussi son rôle de muse et la richesse de ce dialogue avec le poète. Une relation épistolaire d’une liberté inouïe, fondée sur le mythe du coup de foudre et de l’amour idéal se développe.
Madeleine, L’amour secret d’Apollinaire
Adaptation :
Pierre Jacquemont
Comédien(s) :
Alexandrine Serre
Pierre Jacquemont
Coréalisation Les déchargeurs / Jean-Pierre Pagès et Laurence Campa
Lecture créée le 8 mars 2016 dans le Cadre du Printemps des poètes aux 3 Pierrots, Saint Cloud
Le spectacle est labellisé par la mission du centenaire de la Première guerre mondiale 1914-2014
Durée: 1h15Les Déchargeurs
du 9 Jan 2017 au 27 mar 2017
Lundi
à 18h30
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