« L’homme qui rit » d’après Victor Hugo jusqu'au 21 février au Centre culturel Jean-Houdremont à la Courneuve

Résumé d’après dossier de presse : Angleterre, fin du 17ème siècle. Ursus, vagabond, et son loup Homo, voyagent à travers le pays et haranguent les foules pour vendre des potions. Gwynplaine, lui, est un enfant abandonné par « les Comprachicos », voleurs et trafiquants de divertissements. Livré à lui-même, il brave la nuit et la neige, recueille un bébé sur le cadavre de sa mère, morte de froid, et trouve finalement refuge chez Ursus, qui le prend sous son aile. Rapidement, celui-ci découvre que Gwynplaine est mutilé et que le bébé, qu’il nommera Déa, est aveugle. Quinze ans plus tard, Ursus a monté une troupe de théâtre avec Gwynplaine et Déa. Ils présentent la pièce Chaos vaincu qui connaît un grand succès à Londres. Déa, dont les yeux ne voient pas la difformité physique mais uniquement la beauté de l’âme, et Gwynplaine, forment un couple chaste mais profondément lié. Du côté de la cour, Josiane, soeur de la reine Anne, est promise à David Dirry-Moir, fils illégitime tenu pour seul héritier de Linnaeus Clancharlie, lord mort en exil. Une bouteille jetée à la mer par les Comprachicos quinze ans plus tôt, refait alors surface. Le parchemin qu’elle contient dénonce leur crime et révèle la vérité sur l’identité de Gwynplaine. Enlevé dans la nuit par un serviteur de la couronne sans même avoir le temps de prévenir Ursus, il apprend qu’il est le fils naturel et légitime de Linneaus Clancharlie, et héritier de la pairie actuellement concédée à son frère David Dirry-Moir. Désormais Lord, il siège à la chambre. Tentant d’apostropher les pairs d’Angleterre sur leur indécence, ces derniers rient de sa performance, l’appelant clown, histrion ou bouffon. Gwynplaine renonce à ses nouveaux privilèges pour retourner vivre auprès d’Ursus et de Déa. Mais ces derniers ont dû prendre la fuite…

« L’homme qui rit » d’après Victor Hugo

adaptation et mise en scène : Marion Lécrivain

avec Damiène Giraud – Wahid Lamamra – Jean-François Maenner – Camille Pélicier – Antoine Philippot – Jean-Pierre Rouvellat

assistanat scénographie, création costumes : Héloïse Labrande

graphisme : Loïc Loeiz Hamon

chanson de Dea : Juliette Noureddine

lumières : Julien Barbazin

relations publiques : Annabelle Weber

production/administration : Maria Gomez

du 28 janvier au 21 février 2010

mercredi, vendredi, samedi à 20h30 / jeudi à 19h / dimanche à 16h30

au Centre culturel Jean-Houdremont

11, avenue du Général-Leclerc

93120 La Courneuve

RER B (station La Courneuve-Aubervilliers) / Tramway T1 (station La Courneuve-6 routes)

Bus 150 (arrêt Michelet) / En voiture : Autoroute A1 sortie 4b