Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Le festival Tournée Générale 2024

Paris, Théâtre

La 6e édition du festival Tournée Générale 2024 se déroulera du 13 au 16 juin, dans plusieurs bars de quartier du 12ème arrondissement parisien. 

En 2024, « Tournée Générale » s’adapte à un contexte qui perturbe l’organisation d’événements en France, en particulier à Paris et en Île-de-France. Quittant sa fin de mois de juillet où il aimait depuis quelques années rassembler ceux des habitants du 12ème arrondissement et des professionnels et amateurs de spectacle vivant pour qui cette partie de l’été est parisienne, notre festival d’Art en Bars de quartier avance son rendez-vous au mois de juin. Il renoue ainsi avec ses origines, sa première édition en 2019 ayant eu lieu le même mois. L’arrivée du Covid l’année suivante bousculant nos prévisions, jamais « Tournée Générale » n’avait retrouvé le début d’été parisien, où les terrasses et les bars de quartier ne sont pas encore vidés de leurs habitués. De la contrainte que constitue la grande manifestation sportive de l’année, nous avons décidé de faire un avantage.

Voyons cette 6ème édition de « Tournée Générale » comme l’occasion d’un retour aux sources. On s’y interroge : qu’a gardé le festival de ses premiers pas très intuitifs, très spontanés ? Quel écart existe-t-il entre l’intention d’origine et ce qui est aujourd’hui ? Certains des objectifs de départ attendent-ils encore d’être réalisés ? Parmi les nombreuses évolutions de « Tournée Générale » depuis ses débuts, lesquelles servent-elles le mieux les grandes lignes de force du festival ? A savoir : la création d’espaces de rencontre entre des publics différents, éloignés des institutions culturelles comme plus proches d’elles, la mise en place d’un laboratoire de créations légères qui peuvent ensuite avoir vocation à poursuivre leur vie ailleurs, l’alliance d’une dynamique de quartier à celle d’une logique plus large sur le plan territorial, et l’invention de manières nouvelles de créer, hors des institutions mais parfois dans des rapports de partenariat avec elle.

Toutes ces questions seront abordées lors d’une rencontre, qui prendra elle-même la suite du travail d’entretiens avec les artistes et autres partenaires fidèles du festival que j’ai entamé cette année et restitué sous forme d’articles. « Tournée Générale » ayant beaucoup grandi ces dernières années, surtout en devenant essentiellement un festival de création, grâce aussi à son Ensemble Artistique et à ses fidélités avec de nombreux artistes qui y déploient sur la durée des démarches singulières, il est important pour tous ceux qui y participent de prendre le temps de poser des mots sur des gestes. Lesquels risquent sinon de ressembler à des sauts de puce et à perdre en cours de route de leur force et de leur continuité. C’est aussi pour cette raison que nous avons rassemblé pour cette édition 2024 nombre d’artistes qui ont tôt rencontré « Tournée Générale » et continuent d’avoir l’envie de venir y exercer leurs outils, leurs poétiques.

Parce qu’aussi il nous semble essentiel aujourd’hui de défendre aujourd’hui l’amitié, le désir d’être ensemble sur la durée non pas malgré nos différences mais pour elles, nous retrouvons donc les fidèles Guillaume Clayssen, Pablo Dubott, Odja Llorca, Vanasay Khamphommala, Guillaume Mika et Marie-Sohna Condé. On poursuit aussi des dialogues plus récents et on en amorce de nouveaux, avec toujours les patrons des cafés de plus en plus partenaires et toutes celles et ceux qui seront là pour célébrer ce petit monde éphémère mais qui sait refleurir chaque été, parce qu’entretenu toute une saison en secret.

Anaïs Heluin.

Pour soutenir financièrement le festival 

10 juin 2024/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Mathilde Delahaye et Vanasay Khamphommala seront les artistes associés du CDN de Tours pour la saison 2018/2019
Les Essentielles de Faustine Noguès « Les Essentielles » : grève générale à l’abattoir
FOCUS, la 1ère édition du festival de la ruche du TnBA
Vanasay Khamphommala
Baptiste MuzardProjet Newman, les feux de l’amour au TQI
Julie Deliquet met en scène La guerre n’a pas un visage de femme d'après Svetlana Alexievitch © Pascale Fournier Julie Deliquet met en scène La guerre n’a pas un visage de femme d’après Svetlana Alexievitch
Geoffrey FagesGuillaume Mika dans l’institut Benjamenta de Robert Walser, une mise en scène de Frédéric Garbe
Vanasay Khamphommala, rituel pour une réparation
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut