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Kung-Fu de Dieudonné Niangouna

Agenda, Annecy, Lausanne, Limoges, Strasbourg, Théâtre
photo Christophe Raynaud de Lage

photo Christophe Raynaud de Lage

Si Dieudonné Niangouna est aujourd’hui homme de théâtre, c’est grâce au cinéma. Dans Le Kung-Fu, il raconte comment il est devenu acteur à cause des images sur écran de son enfance et de son adolescence : acteur de sa vie, mais surtout acteur de l’écriture. Il pense que ses esthétiques, ses rages, ses langues, ses histoires, bref que tout son attirail batailleur d’artiste en colère lui vient des héros de films d’action. Et tout particulièrement des films de kung-fu. Toute une culture cinématographique lui arrive de France, même quand les films sont asiatiques ou américains : dans le Brazzaville des années 80, Henry Fonda, Yul Brynner et Jackie Chan parlent français. Plus que jamais, Niangouna vient écrire sur scène ce qu’il n’a pas fini d’écrire sur la page.

« J’ai raconté des films à mes frères, soeurs, grands et petits, à mes cousins, mes tantes, mes oncles, à des amis, à des inconnus, à des vieillards, à des bébés, des chiens aussi. J’ai raconté près de deux mille cinq cents et quelques films dans ma vie, sans me fatiguer. » Dans Le Kung-Fu, le voilà qui prend le plateau en solo, pour renouer le fil de ces récits, en invitant les habitants de chaque ville où il passe à tourner eux aussi des scènes de films cultes. Il en injecte ainsi plus d’une vingtaine dans son récit : western, péplum, bollywood, polar, science-fiction… Des fragments tournés sans moyens, avec les vrais dialogues et dans l’esprit du réalisateur d’origine. Manière de transformer une trajectoire individuelle en aventure collective, de croiser sa propre vie à l’imaginaire poétique d’une communauté. Plus que jamais, Niangouna vient écrire sur scène ce qu’il n’a pas fini d’écrire sur la page. Souple, acrobate, puissant, joueur, ce hâbleur magnifique capte l’auditoire sans discontinuer. Avec une habileté certainement héritée de sa grand-mère, dont il dit qu’elle pouvait raconter des histoires à tenir un éléphant éveillé pendant huit jours.

Kung-Fu
Texte, mise en scène et jeu Dieudonné Niangouna
Collaboration artistique Laetitia Ajanohun
Création lumière Laurent Vergnaud
Création vidéo Wolfgang Korwin
Construction décor Charlotte Humbert et Patrick Janvier
Compagnie Les Bruits de la rue
Production déléguée Le Grand Gardon Blanc / Cie Les Bruits de la Rue / Les Laboratoires d’Aubervilliers.
Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort.
Avec le soutien de la Région Île-de-France dans le cadre des résidences d’écrivain.
La Cie Les Bruits de la Rue est soutenue par le Ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Île-de-France.
La Compagnie Les Bruits de la Rue est accueillie en résidence en septembre 2014 par l2014 par le Festival des Francophonies en Limousin, la Mégisserie – EPCC Vienne-Glane et le Ciné Bourse à Saint-Junien et le Festival de la Luzège à Laplaud.
Accueil avec le soutien de l’Institut Français et de la Région Limousin.
Accueil en partenariat avec les Centres culturels municipaux de Limoges et la Mégisserie, EPCC Vienne-Glane et le Ciné Bourse à Saint-Junien.
Actualités

Création aux Francophonies en Limousins les 26 et 27 septembre 2014
6 et 7 novembre 2014, Théâtre des Salins, scène nationale de Martigues
15 et 16 novembre 2014, Künstlerhaus Mousonturm, Francfort
20 et 21 janvier 2015, Bonlieu scène nationale Annecy
du 3 au 21 février 2015, Théâtre Vidy-Lausanne
du 23 février au 6 mars 2016, au TNS à Strasbourg

23 février 2016/par Dossier de presse
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