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Jean-Luc Godard (1) : je me laisse envahir par le Vietnam d’Eddy D’aranjo

Aubervilliers, Théâtre
Jean-Louis Fernandez

Eddy D’aranjo photo Jean-Louis Fernandez

Le cinéma de Jean-Luc Godard peut-il être une ressource pour réinventer le théâtre ? Est-il un modèle pour nous aider à raccrocher la question de l’art à celle du politique ? Dans Je me laisse envahir par le Vietnam – premier volet du diptyque traçant le portrait du cinéaste – Eddy D’aranjo cherche l’élan et le désir de nouveauté qui traversa les années 1960. Le champ cinématographique, sous l’impulsion de la Nouvelle Vague, fut alors vigoureusement bousculé. En forçant un dialogue entre les mots et les actes, en faisant naître une nouvelle manière de jouer, qui laissait entrer bien des affects inédits, en donnant droit à la vie jeune ou populaire, la première partie de l’œuvre de Godard a accueilli tout un pan du réel jusqu’alors ignoré. Mais cette hospitalité de l’art à de nouvelles demandes de la vie ne fut pas sans conséquences sur l’art lui-même. C’est en regardant les transformations inaugurées dans les films de Godard, que ce spectacle vient maintenant questionner le devenir de la discipline théâtrale, qu’il veut lui aussi nouer aux grandes problématiques de notre époque. Par exemple les formes du rapport amoureux s’invitent dans notre présent par une fiction inspirée des grandes scènes de À bout de souffle, de Pierrot le fou et du Mépris. Le court-métrage Caméra-œil permet quant à lui d’interroger les non-dits du théâtre, de le confronter aux événements qui sont aujourd’hui l’équivalent du « Vietnam ». Enfin, la transposition sur scène du scénario de La Chinoise et des travaux du groupe Dziga Vertov nous amène à la question dure : celle du recours à la violence. Ici s’interroge le réel des espoirs et des contradictions d’un art (théâtral) qui se veut, au sens propre et presque follement, révolutionnaire.

Jean-Luc Godard (1) : je me laisse envahir par le Vietnam
d’Eddy D’aranjo – artiste associé
avec Majda Abdelmalek, Elan Ben Ali, Volodia Piotrovitch d’Orlik et Léa Sery

Théâtre de la Commune à Aubervilliers

DU 19 AU 29 JANVIER 2021

MAR 19, MER, JEU À 19H30, VEN À 20H30, SAM À 18H, DIM À 16H, MAR 26 À 14H30
DURÉE 2H45

16 novembre 2020/par Dossier de presse
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