Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Florence Viala

#SDP, Théâtre

photo Stéphane Lavoué

Florence Viala interprète cette semaine Mlle Béjart dans Jean-Baptiste, Madeleine, Armande et les autres…, la nouvelle mise en scène de Julie Deliquet à la Comédie-Française. Voici son itw Soir de Première.

Avez-vous le trac lors des soirs de première ?
Oui énormément sauf quand je travaille avec Anatoli Vassiliev.

Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?
J’y pense depuis le coucher la veille. J’aimerais me préparer tous les jours comme pour la première. C’est comme un Noel d’enfant, tout est relié au spectacle du soir : la douche, mes vêtements, mes repas, mon trajet vers le théâtre, etc..

Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?
Oui je suis très superstitieuse. Je crée un petit rituel pour chaque spectacle : maquillage, habillage, musique, italiennes et si par malheur quelque chose vient changer l’ordre ou le temps, je suis d’une humeur noire et je ronchonne jusqu’au plateau et parfois toute la soirée.

Première fois où je me suis dit « je veux faire ce métier ? »
Je me suis plutôt dit : « Tiens je fais ce métier »

Premier bide ?
Des fables de La Fontaine luent en public à la Comédie-Française. Je venais de rentrer en 1995, j’avais une fable interminable et pas assez travaillée, je me suis faite huer par de vieux abonnés.

Première ovation ?
Je crois qu’il s’agissait de Occupe toi d’Amelie mis en scène par Roger Planchon 1994.

Premier fou rire ?
Même spectacle avec Jean Pierre Mickael et Thierry Hancisse. On riait tellement que des spectateurs ont écrit pour se plaindre.

Premières larmes en tant que spectatrice ?
Au cinéma tout le temps, au théâtre La grande Magie Dan Jemmett, ou Judith Chemla dans Traviata de Benjamin Lazar.

Première mise à nue ?
A chaque première lecture au début des répétitions.

Première fois sur scène avec une idole ?
Point encore.

Première interview ?
A Dijon pour journal le Bien public.

Premier coup de cœur ?
Hamlet dans la mise en scène de Chéreau, Médee dans celle de Deborah Warner.

15 juin 2022/par L'équipe de sceneweb
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Catherine Ferran
Céline NieszawerCécile Brune : « La part de mystère la plus incroyable de ce métier, c’est quand on est surpris au détour d’une phrase, ou d’une respiration, de l’écho, de la réverbération que ça provoque en soi »
Soir de Première avec André Marcon
Lou SardaLudmilla Dabo : « J’ai toujours aimé la scène, j’ai toujours aimé que le théâtre ne quitte pas ma vie »
Un Conte à grandir debout
Ève Pereur
Charles Berling
L’Hôtel du libre échange : Nanty met du Tchekhov dans son Feydeau
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut