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Vous êtes ici : Accueil1 / Danse2 / Jérôme Bel : « Je deviens un activiste »

Jérôme Bel : « Je deviens un activiste »

Danse, Les interviews
Jasper Kettner

Jérôme Bel photo Jasper Kettner

Engagé, Jérôme Bel a fait le choix de ne plus voyager par les airs pour ses créations et met l’écologie au cœur de sa réflexion. Il a également envisagé de nouveaux modes de productions artistiques avant que la crise sanitaire ne mette le monde de la culture en mode pause. Entretien.

Vous aviez imaginé par le passé un catalogue raisonné de vos œuvres avec choix de captations en ligne ou d’entretiens. Ces temps-ci, confinement oblige, on peut presque tout voir sur la toile. Doit-on tout montrer de cette manière ? Ou faut-il inventer de nouveaux outils ?
Personnellement je sélectionne très précisément ce que je montre en ligne. Mais tout n ‘est pas visible, à mon avis sur le net. On s’aperçoit très vite qu’une mauvaise réalisation filmique d’une pièce peut nuire à celle-ci. Il faut donc un.e réalisat.eur.rice qui pense au mieux la captation de la danse. Après il y a des pièces qui sont absolument impossibles à filmer tellement elles sont complexes chorégraphiquement, je pense à certains spectacles de William Forsythe par exemple. Moi je n’ai pas ce problème grâce à mon esthétique minimaliste, mes pièces sont assez faciles à filmer. Je me suis beaucoup investi dans les enregistrements filmiques de certaines pièces. Les pièces ratées ou que je n’aime pas beaucoup, j’évite de les filmer ! Depuis 20 ans, j’ai vu la technique faire des progrès absolument inouïs qui aident à se rapprocher de l’expérience scénique. J’ai même des films de mes pièces où on voit mieux ce qui se passe que dans le théâtre.

Le spectacle est-il moins vivant ces temps-ci alors que nous sommes confinés ?
Il est carrément mort. D’ailleurs on ne revoit que des films de spectacles qui pour la plupart ont disparus, et d’un certain point c’est très enrichissant. Mais hier soir (mardi 28 avril ndlr), il s’est passé quelque chose, la compagnie de théâtre anglaise, Forced Entertainment*, dirigée par Tim Etchells a performé sur Internet, sur YouTube, en streaming et il me semble qu’il y a eu théâtre. En effet ils ont représenté un Zoom Meeting à tous les six pendant 30 minutes, et c ‘était du théâtre pur, car ils ont produit la première représentation, la première fiction, en tout cas pour moi, de cette nouvelle activité qui est devenue pour moi quotidienne. Grâce à cette représentation, (ce spectacle ?) grâce au fait que je sois, non plus partie prenante de cette activité, mais au contraire, exclu et dans ce cas, spectateur, j’ai pu éprouver, d’une manière totalement inattendue la puissance de l’Art, de la représentation, du Théâtre, alors que je n ‘étais que devant mon ordinateur comme le reste de la journée. Mais justement les acteur.rice.s ont fictionalisé cette quotidienneté, cette banalité impensée par moi jusqu’alors. Iels ont opéré ce décollement de la réalité qui est le propre de l’Art lui-même afin de produire un événement sensible et intelligible avec ce nouveau médium. J’y vois une possibilité de théâtre nouvelle. C’est prodigieux !

Etes-vous dans une période de création ?  Est-ce « inspirant » d’être ainsi « isolé » ?
Non c’est mortel. En fait mon quotidien n’a pas beaucoup changé du fait du confinement, puisque j’ai l’habitude de travailler beaucoup chez moi, seul sur mon ordinateur. Mais le soir je sortais voir des spectacles avec des ami.e.s et des collègues, et là avec le confinement cet équilibre que j’ai construit entre travail solitaire et sociabilité artistique et amicale est rompue .
Pour l’instant je n’entrevois pas de possibilités nouvelles car cela fait maintenant un an que je réfléchis à des manières de travailler sans que je doive rencontrer les gens avec qui je travaille. Disons que je suis en train de les mettre à l’épreuve puisque soudainement les curat.eur.rice.s sont intéressé.e.s de travailler avec moi du fait des conditions du confinement actuel.
Et finalement je travaille beaucoup plus depuis le confinement. Je dois répondre à beaucoup de sollicitations, d‘interviews comme celle-ci, de textes à écrire. Je discute aussi beaucoup avec mes pair.e.s sur le futur, on se dit qu‘on ne peut plus continuer à travailler comme on l’a fait jusqu’à maintenant, qu’il y a des choses à changer, je pense que la situation va être très  difficile, qu’il va falloir se serrer les coudes.

Vous aviez, par choix, l’an passé décidé de ne plus voyager en avion pour accompagner tes pièces ou créer. Aujourd’hui plus personne ne voyage, il n y a presque plus de vols. Certains estiment que créer demain devra passer par d’autres pratiques -plus vertueuses. Où en êtes-vous de cette réflexion ?

En 2007, j’étais dans un avion de Melbourne à Paris. Nous venions de jouer « The Show Must Go On » (2001) . Et dans un des journaux offerts à bord, j’ai lu un article disant que à cause du réchauffement de la planète, tout le monde devait réduire son empreinte carbone. Dans l’avion avec moi, il y a les vingt dans.eu.r.se.s de la compagnie, c’est à ce moment-là que j’ai l’idée qu’à partir de maintenant, nous ne voyagerons plus avec toute la compagnie, mais qu’à la place j’enverrai seulement deux de ces dans.eu.r.se.s pour qu’il.elle.s remontent la pièce à l’étranger avec des dans.eu.r.se.s loca.ux.les. Ce fut ma première action en matière d‘écologie. ( Je suis végétarien depuis des années mais ce n‘est que des années plus tard que j’apprendrais que mon régime est vertueux en matière d’écologie-. Il en va de même pour mes spectacles, mon esthétique en général, qui sont sinon une critique du consumérisme et de son corollaire le capitalisme, jamais ne produisent d’objets comme de nouveaux costumes ou de scénographie très polluants.)

En 2014, une programmatrice d’un théâtre parisien me parle d’un spectacle sur l’écologie qu’elle a invitée. Enthousiasmé par la nouvelle, je demande d’où vient cette compagnie. Elle me répond qu’ils viennent d’Australie… A ce moment-là précis quelque chose se fissure en moi, il y a un truc qui cloche: comment peut-on exprimer une chose de façon artistique tout en produisant exactement son contraire?

Récemment, en février 2019, je suis dans mon appartement à Paris. J’y ajuste le chauffage afin d’économiser autant d’énergie que possible afin de réduire mon empreinte carbone (j’ai fait des années auparavant des travaux d’isolation très performants). Soudain, je réalise que au même moment deux de mes assistant.e.s sont dans un avion qui revient de Hong-Kong où il.elle.s viennent de remonter la pièce «Gala» avec des dans.eu.r.se.s loca.ux.les et deux autres assistant.e.s sont, eux.elles, dans un autre avion à destination de  Lima afin d’y remonter la même pièce. C’est alors que je me dis que je suis un hypocrite, que je me mens à moi-même. Je tombe alors dans une grave dépression pendant plusieurs semaines jusqu’à en arriver à la conclusion que mon travail ne peut pas continuer à polluer ainsi en participant au réchauffement climatique et je décide que ni moi ni la compagnie ne prendront plus l’avion.

Cela a provoqué un choc au sein de mes collaborat.eur.rice.s, mais nous nous sommes calmé.e.s et nous avons commencé à réfléchir à la manière dont nous pourrions continuer à travailler sans prendre l’avion. A l’époque, je commençais les répétitions de la pièce « Isadora Duncan » à Paris avec la danseuse française Elisabeth Schwartz et j’ai eu l’idée de faire une autre version de la pièce avec une autre danseuse « duncanienne » à New York que j’avais repérée sur internet, Catherine Gallant . Il y aurait donc deux versions de la pièce : une qui tournerait  en Europe et une autre dans le nord-est des États-Unis. Toutes deux ne voyageant qu‘en train.

Pour les autres spectacles les plus demandées à l’étranger, telles que « The show must go on » et « Gala » , nous travaillons avec des chorégraphes loca.les.ux dans les villes qui invitent ces pièces (Taipei, Buenos Aires, Miami, etc…) afin que ces chorégraphes puissent les mettre en scène à partir des transcriptions, des vidéos et de répétitions en téléconférence.

J’envisage d’autres procédures telle que travailler cette fois en écrivant des partitions qui me permettront je l ‘espère de ne plus rencontrer du tout les danseu.r.se.s. Je cherche à trouver des solutions en phase avec le moment historique dramatique qui est le nôtre afin de lutter contre le réchauffement climatique.

Le milieu chorégraphique est malheureusement complètement coincé dans le système de mondialisation extrême prévalant dans la soi-disante « danse contemporaine » et qui produit une épouvantable empreinte carbone. Je pense, hélas, que la plupart des personnes que je connais qui ont une position dominante dans le champ chorégraphique, en tant qu’artistes ou direct.eur.rice.s de théâtre ou de festival, qui ont mon âge (la cinquantaine…) ou plus ne changeront rien. Ils sont prisonniers d’un système qu’ils ne veulent pas remettre en question. C’est assez insupportable car il.elle.s tiennent des discours écologiques, signent des pétitions parce qu’il.elle.s sont connu.e.s… sans produire aucune action. Ils ne sont pas du tout différents des politicien.ne.s actuel.le.s. Personne n’est prêt à perdre le moindre de ses privilèges alors que la catastrophe est imminente. Il n ‘y a qu’à voir les températures que nous avons connues l’été dernier. À Paris, c’était un cauchemar. Il me semble que c’est précisément ce système qu’il faut déconstruire et réformer. Par exemple, il y a cette salle de concert au Danemark, à Helsingor, qui invite uniquement des orchestres et des musicien.ne.s qui accepteront de voyager en train.

Je ressens beaucoup plus d’énergie chez les plus jeunes, qui n’ont rien à perdre et qui, je pense, sont prêts à inventer de nouvelles méthodes de travail. De nombreuses personnes prennent contact avec moi sur les réseaux sociaux depuis que j’ai rendu public mon engagement écologique pour me faire part de leurs situations et de leurs actions. Heureusement ! Ces jeunes me redonnent un peu d’espoir car je n’attends pas grand-chose de ma génération.

À Vienne (où je m’étais rendu en train), j’assistais à un spectacle qui n’était pas très intéressant et tout d’un coup j’ai  commencé à « calculer » l’empreinte carbone du spectacle qui se déroulait sous mes yeux: le nombre de danseurs sur scène, leurs voyages intercontinentaux pour venir à Vienne, les costumes, le décor, le nombre de techniciens en régie, etc… Et en fait je me suis rendu compte que je regardais l’enfer : je regardais la fonte des glaces, je regardais les tempêtes violentes ravageant les habitations, les incendies et subséquemment les millions de réfugié.e.s climatiques qui allaient avoir une vie misérable sinon périr purement et simplement, les régimes autoritaires élus dans nos démocraties libérales afin de d’empêcher l’afflux de ces mêmes réfugié.e.s  etc…etc…

En fait , je me suis aperçu qu’il y avait soudainement un nouveau paradigme dans mon jugement esthétique : si un spectacle auquel j‘assiste ne prend pas en compte la question de l’écologie dans sa réalisation en faisant comme si de rien n ‘était ( trop de costumes, trop d’objets, trop de décors, trop de voyages, etc…) il ne me donne pas de plaisir, je le trouve mauvais. Je ne vais donc plus voir les spectacles calibrés pour les tournées internationales, à la place je vais voir les oeuvres des jeunes gens qui travaillent dans ma zone géographique.
Comme Greta Thunberg, qui a commencé la grève de l’école, je fais la grève des spectacles et des compagnies de danse qui continuent de polluer ! Comment puis-je faire confiance à un.e chorégraphe, à une metteur.e en scène, une compagnie de danse ou de théâtre qui contribue au réchauffement climatique? Ce sont des gens qui ne pensent pas le monde, qui ne voient pas ce qui se passe, comment leurs spectacles peuvent-ils avoir une quelconque valeur ?

Je parle là des pratiques de mon milieu. J’ai bien conscience qu’il faut aller bien plus loin, politiser le problème autant que cela se peut. J’ai conscience que ces décisions sont plus symbolique qu’autre chose, mais que fait l’art sinon produire du symbolique ? En même temps, depuis que j’ai rendu public ces décisions, je suis hyper sollicité pour des interviews sur le réchauffement climatique dans différents médias. Je profite ainsi de ma reconnaissance artistique pour porter la bonne parole hors du champ artistique. Je deviens un activiste.

Propos recueillis par Philippe Noisette – www.sceneweb.fr

*End Meeting for All par Forced Entertainment, deux nouveaux épisodes les 5 et 12 mai
www.forcedentertainment.com

29 juin 2020/par Philippe Noisette
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3 réponses
  1. Sica
    Sica dit :
    2 mai 2020 à 17 h 53 min

    Waaaaaaaa ! Mais quel plaisir de lire une interview de quelqu’un qui n’est pas juste en train de se plaindre de l’argent qu’il ne va pas gagner. Et toutes ces idées, très intéressante.

    Répondre
  2. Daniel PROIA
    Daniel PROIA dit :
    7 juillet 2020 à 11 h 18 min

    cohérent ! toujours aussi stimulant, Mr Jérôme Bel,

    Répondre
  3. Boussagol
    Boussagol dit :
    20 décembre 2020 à 17 h 14 min

    Il est toujours intéressant de lire qu’un artiste institutionnelle entre ou est entré dans un processus vertueux. C’est la première fois que je partage en gros les dires de Jérôme bel que je prends par ailleurs pour un « magnifique charlatan » (dit comme ça c’est à entendre comme un compliment), tel ces géniaux bonimenteurs des marchés de mon enfance qui étaient capables de vous vendre de la peau de lapin pour du vison avec force rabatteurs tout de même (!). Je suis donc en accord avec Bel sauf concernant l’utilisation artistique d’internet car c’est probablement le secteur le plus polluant actuellement mais surtout demain avec la 5G généralisée laquelle sera justement l’outil vraiment performant pour ses propositions. Mais alors en admettant qu’il renonce aussi à internet pourquoi pas dés maintenant se service de la bonne vieille poste pour déplacer les feuilles où il aurait transcrit ses messages artistiques ?
    Dire aussi que les multi distributions existent déjà et depuis longtemps du prestigieux et hyper lucratif CIRQUE DU SOLEIL aux plus modestes compagnies qui tournent 3 ou 4 « Molière » identiques dans les écoles. Certes ce n’est pas l’emprunte carbone qui les motive mais ça existe aussi ce type de raisonnement. Je vais probablement produire une « création cirque » québécoise cet été dont l’ensemble des artistes ne viendra que d’ Europe ! Précisément sur ce critère développé par Bel. Pour un programmateur, une autre position consiste à ne programmer que des spectacles qui viennent de 200 ou 300km à la ronde. Pour un artiste prendre position sur le fait qu’il ne jouera que dans le cadre d’une tournée. Toutes ces idées sont simples et surtout ancienne. Je dirai même que c’est la base de notre métier. Théâtre ambulant, théâtre en tournée, théâtre forain, cirque, cinéma ambulant … Par la force des choses on va y revenir.

    Répondre

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