David Géry met en scène Fahrenheit 451 de Ray Bradbury
Quelle vision prémonitoire offre Fahrenheit 451, avec ses baladeurs (les coquillages), écrans plats géants (les murs écrans) et ses émissions de télé-réalité (la famille), l’invasion de la publicité, ses guerres-éclairs… et surtout la facilité avec laquelle une chose en chasse une autre, une actualité, une autre actualité, la perte et l’absence de la mémoire, d’analyse […]