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Astrid Mercier met en scène Pourvu qu’il pleuve de Sonia Ristic

Agenda, Limoges, Théâtre

photo Christophe Pean

Nous sommes dans un café de quartier, lieu de vie universel où se pressent des serveuses, des cuisiniers kurdes, un couple et le choeur des clients… Un microcosme où les destins de sept solitudes butent les uns contre les autres, où le monde se réfléchit comme dans un miroir et où les appels au secours sont étouffés par le brouhaha de la brasserie qui bat son plein. Dans une écriture fulgurante et explosive, le texte de l’auteure serbe Sonia Ristic joue sur les infimes glissements qui s’opèrent d’un instant au suivant et qui, au terme de cette journée, dessinent des destinées qui basculent. Avec ses sept interprètes au plateau, la metteuse en scène Astrid Mercier met en lumière et en musique, avec humour et tendresse, ces hommes et ces femmes d’aujourd’hui, avec leurs différences, leurs craintes et tout ce qui les rend humains (ou pas).

« Comment décrire, ramasser et coordonner ses impressions après la lecture du texte de Sonia Ristić ? Tâche difficile. Car tout semble nous filer entre les doigts. C’est fulgurant et explosif

Il y a le titre, Pourvu qu’il pleuve, et l’annonce d’une attente, d’une prière, d’un souhait, mais aussi d’un aveu d’impuissance. Et pourtant, Pourvu qu’il pleuve pourrait être un hymne à la vie, mettant en scène des « héros du quotidien » qui se débattent avec leurs solitudes, leurs questionnements et leurs peurs : peur du lendemain, peur d’être seul, peur de dire, peur de choisir, peur de l’inconnu, peur du monde qui nous entoure. Ils se posent tous des questions, trouveront-ils leurs réponses ?

Un monde extérieur qui va débouler, un « monde qui bouscule, gueule, cogne », un monde jamais nommé : sans doute un attentat ou quelque chose de plus grand qui vient bousculer ces « petites » histoires. Ces moments qui nous touchent de près ou de loin ; comment les percevons nous ? Individuellement et collectivement. Une pièce qui parle avec humour et tendresse des hommes et des femmes d’aujourd’hui, de nos différences, de nos craintes, et de tout ce qui nous rend humain (ou pas). »

Astrid Mercier.

Pourvu qu’il pleuve de Sonia Ristic

Mise en scène Astrid Mercier

Avec Grégory Alexander, Jann Beaudry, Alexandra Déglise, Jérémie Edery, Ricardo Miranda, Maleika Pennont, Karine Pédurand

Création lumières & scénographie Lucie Joliot

Costumes Anuncia Blaas

Création musicale Nicolas Lossen

Ingénieur du son Didier Adréa

Production
Festival les Francophonies – des écritures à la scène

Tropiques-Atrium Scène nationale de Martinique

Fédération d’Associations de Théâtre Populaire (FATP)

Avec le soutien de la dac Martinique, de la Collectivité territoriale de Martinique et d’Artcena.

Théâtre de l’Union de Limoges dans le cadre des Festival les Francophonies – des écritures à la scène
Lundi 30 Septembre 2019 – 18h30
Théâtre de l’Union
Mardi 1 Octobre 2019 – 20h30
Théâtre de l’Union

30 septembre 2019/par Dossier de presse
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