Le concept de culture est une notion trop floue pour être abordé sans préciser qu’il n’en existe pas moins de 164 définitions différentes.
Tout comme l’air.
« C’est au niveau de la troposphère, couche la plus fine et la plus basse de l’atmosphère, que se concentrent les trois quarts de l’air atmosphérique qui permettent la vie sur Terre. Cet air que nous respirons est composé d’environ 78 % d’azote, 21 % d’oxygène et 1 % d’argon. Il contient également de la vapeur d’eau qui représente entre 0,1 et 4 % de la troposphère et de toutes petites quantités d’autres gaz, comme le dioxyde de carbone ou le méthane, appelés « gaz traces » pour leurs quantités minimes. L’air contient aussi des milliers d’autres gaz et de particules (comme la suie et certains métaux) rejetés dans l’atmosphère et produits à la fois par des sources naturelles et par l’activité humaine. » (données scientifiques).
L’art, confronté au gigantisme de ce que recouvre la culture : les valeurs, les croyances, les convictions, les langues, les savoirs, les arts, les traditions, les institutions, les modes de vie, ne représente qu’une infime partie de ce qui constitue nos sociétés. Mais, sans l’art, pourrions-nous nous définir comme humains ?
La culture chorégraphique, depuis que l’humanité est apparue, poursuit ses déplacements, ses transformations au rythme desquels nous évoluons en vivant ensemble. Comme un gaz rare, nécessaire à la vie, et donc à défendre avec acharnement.
L’art libre comme l’air.
Du 15 janvier au 1er février 2016
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