Le NEST – acronyme de Nord-ESt Théâtre – est un théâtre de création dirigé par le metteur en scène Jean Boillot depuis 2010. Il va quitter son poste le 31 décembre 2019. Initialement Théâtre Populaire de Lorraine, c’est avec son arrivée que le théâtre a changé d’appellation – NEST signifie « nid » en allemand et en anglais. Situé à mi-chemin entre Metz et Luxembourg et positionné sur un territoire transfrontalier, ce théâtre est symbole d’une ouverture possible à d’autres langues et à d’autres cultures. Il a été dirigé par Laurent Gutmann (2004-2010), Stéphanie Loïk(1992-2004), Charles Tordjman (1982-1992) et Jacques Kraemer (1963-1982). Voici la liste des six candidats retenus par les tutelles parmi les 36 dossiers déposés.
Cécile Arthus – metteure en scène
Cécile Arthus est metteure en scène et artiste associée au Nest Centre Dramatique National transfrontalier à Thionville de 2011 à 2017. Oblique Compagnie est créée en 2004 pour administrer ses projets. Elle se forme successivement à l’Atelier international de Blanche Salant et Paul Weaver, à l’École Florent et à l’École Jacques Lecoq. En 2008, elle obtient un Master de dramaturgie et mise en scène à l’Université de Nanterre. Elle aura comme professeurs-es : Marc Voisin, Jean-Pierre Garnier, Jerôme Dupleix, David Lescot, Sabine Quiriconi, Jean-Louis Besson, Christian Biet, Jean Jourdheuil…En 2015, elle décide pour la première fois de s’attaquer à une œuvre du répertoire pour tenter de s’extirper, le temps d’une création, de notre contemporanéité paralysante et aller voir du côté des grands auteurs du passé. Aidée par Jean-Marie Piemme, elle adapte Angelo, tyran de Padoue, de Victor Hugo. Une oeuvre mille-feuille passionnante qui mélange aussi gaiement et subtilement le politique et les grands sentiments.
De 2011 à 2017, Cécile Arthus est artiste en résidence et associée au Nest-CDN Transfrontalier à Thionville. Elle y multiplie les projets en lien avec Jean Boillot le directeur : Human Library, labos, mise en voix, mise en espace, stage sonique, actions de médiations culturelles. En 2014, elle y cofonde et codirige un festival pluridisciplinaire en direction de la jeunesse : LA SEMAINE EXTRA. Elle en assure une partie de la programmation jusqu’en 2017. En 2017, elle est artiste invitée au Préau-CDN de Vire en Normandie. Sa dernière création, Taisez-vous ou je tire, de Métie Navajo, réunit au plateau 13 comédiens. Le spectacle est présenté au Nest-CDN (Thionville, Grand Est) au Préau-CDN (Vire, Normandie), à la Ferme de Bel Ébat (Guyancourt) et au Théâtre de Lorient.
Vincent Goethals – metteur en scène
Issu de l’École Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Lille, il crée en 1988 la compagnie Théâtre en Scène qui présente ses premiers spectacles (Horowitz, Pirandello, Klauss Mann) qu’il joue et met en scène. Il devient pour un temps co-directeur artistique du Gymnase de Roubaix où il joue et met en scène entre autres Duras, Schnitzler, Claudel, Brecht, Valletti, Koltès…
Tour à tour artiste associé à l’Hippodrome et au Bateau Feu, scènes nationales de Douai et Dunkerque, il entame un processus de créations très intimement lié à l’écriture francophone contemporaine. Il y mettra en scène des pièces d’auteurs québécois (Bouchard, Danis, Mouawad), africains (Efoui, Kwahulé) et belges (Mabardi, Tison, Cotton).
Il sera notamment porteurs de projets internationaux ambitieux autour de commandes d’écriture qui aboutiront aux créations de Violette sur la terre de Carole Fréchette (Québec), Tombouctou 52 jours à dos de chameaux d’Ahmed Ghazali (Maroc).
Il a été aussi l’iniateur de collaborations internationales avec le Rideau de Bruxelles (Le Cocu magnifique de Crommelynck), le Théâtre de Namur et le Public de Bruxelles (Aux hommes de bonne volonté de Caron) et le Théâtre de Vidy Lausanne (Une laborieuse entreprise de Levin). C’est lors de sa résidence au Théâtre du Nord (CDN de Lille) qu’il mettra en scène Salina de Laurent Gaudé, auteur qu’il a associé pour sa première saison, au Théâtre du Peuple de Bussang dont il a pris la direction en septembre 2011 ; Caillasses , tragédie contemporaine sur le conflit israélo-palestinien sera le fruit de leur seconde collaboration. Suivront, au cours des Hivernales 2012, deux mises en scène : Tombeau pour Palerme et Gramercy Park Hôtel. Lors des Estivales 2013 de Bussang, il a créé deux pièces courtes de l’auteur belge Stanislas Cotton Clod et son Auguste et Le Roi bohème, ainsi qu’un cabaret singulier intitulé Et si nos pas nous portent… En 2014, pour la saison québécoise du Théâtre du Peuple, il a mis en scène D’Alaska de Sébastien Harrisson et Small Talk de Carole Fréchette. Pour les 120 ans du Théâtre du Peuple, il a créé l’Opéra de Quat’sous de Bertolt Brecht et Kurt Weil, ainsi qu’un montage des lettres de Jean et Maurice Pottecher Un d’eux nommé Jean. En 2016, année Shakespeare, c’est William’s Slam de Marie Claire Utz et Lady First de l’auteure turque Sedef Ecer qui seront ses créations pour le Théâtre du Peuple.
Pour sa dernière saison au Théâtre du Peuple, il a créé La dame de chez Maxim… ou presque de Feydeau/Offenbach, ainsi que En dessous de vos corps, je trouverai ce qui est immense et qui ne s’arrete pas, du québécois Steve Gagnon. Pour sa première création à Metz en tant que directeur de la Cie Théâtre en Scène, il retrouve cet auteur en créant Ventre en novembre 2017. Un troisième volet de cette Trilogie Gagnon verra le jour en 2020.
Pauline Laidet et Baptiste Guiton – comédiens et metteurs en scène
Pauline Laidet est comédienne et metteure en scène. Depuis 2009, elle est comédienne pour les metteurs en scène François Rancillac, Laurent Brethome, Pio Marmaï, Mathieu Loiseau, Riad Gahmi, Cédric Veschambre, Emilie Leroux, Vladimir Steyaert, Benjamin Villemagne, Alexis Jebeile et Colin Rey. Elle travaille régulièrement avec plusieurs chorégraphes : Denis Plassard avec qui elle a dansé pour La Biennale de la Danse en 2010, avec Mathieu Heyraud (Compagnie R/O) et avec Hélène Rocheteau avec qui elle crée « La Nuit Manquante » au CCN de Tours et pour le Festival Pharenheit au Havre. En tant que metteure en scène, elle débute avec la mise en espace de « Nous les héros » de J.L Lagarce avec l’ensemble de sa promotion dans le cadre d’une carte blanche à la Comédie de St-Etienne en 2005. Elle réalise également une maquette de « Concessions » de Kossi Efoui avec les élèves de La Comédie de Saint-Etienne en 2009. Elle crée avec Pio Marmaï, Riad Gahmi, Charlotte Duran et Benjamin Villemagne, un collectif d’acteurs « La Quincaillerie Moderne » avec lequel elle travaille de 2006 à 2012 dans le cadre de différentes créations et écritures collectives, et avec lequel elle met en scène « Jackie », un monologue d’Elfriede Jelinek en 2011, qui se jouera à La Loge à Paris, mais aussi à Lyon, Grenoble et St-Etienne.
C’est en 2014 qu’elle crée la compagnie « La seconde Tigre » avec laquelle elle met en scène « FLEISCH » en 2016, une libre adaptation de « On achève bien les chevaux », et qui se jouera à Lyon, Dijon, Paris, Saint-Etienne pour une quinzaine de dates jusqu’en 2018.
En 2018, elle crée « Souterrain » à La Comédie de Valence dans le cadre des « Controverses », pièces dédiées à un public adolescent, et s’empare de la question du numérique. En 2019, elle mettra en scène « Dernière ascension avant la plaine » au Festival « Théâtre en mai » du Théâtre Dijon-Bourgogne, une création originale pour laquelle elle s’accompagne de l’autrice Myriam Boudenia. En 2019 également, elle créera pour l’Opéra de Lyon « Les Enfants du Levant », un opéra d’Isabelle Aboulker, avec la maîtrise de l’opéra, un chœur de 30 enfants, et qui se jouera au Théâtre de la Renaissance à Oullins.
Elle intervient aussi comme chorégraphe dans le cadre de créations théâtrales auprès du Théâtre l’Exalté, dirigé par Baptiste Guiton. Titulaire du Diplôme d’Etat, elle mène régulièrement des ateliers de théâtre et de danse au sein d’établissements scolaires et avec le Théâtre de Vénissieux et le Théâtre de la Croix-Rousse. En 2014, elle assiste Denis Plassard pour le défilé de la Biennale de la Danse à Lyon. Elle organise également de nombreux stages pour adultes amateurs qui mélangent danse et théâtre.
Baptiste Guiton se forme à l’École de la Comédie de Saint-Étienne comme comédien avant d’intégrer le département Mise en scène de l’ENSATT. En 2007, il crée son premier spectacle, Souffles, adapté de Rimbaud et Shéhérazade de Abdellatif Laâbi, à Casablanca, et met en scène Le Misanthrope de Molière. En 2008, il monte Les Adieux de Elfriede Jelinek, en collaboration avec Benoît Bregeault et Ivica Buljan et, en 2009, Le Groenland de Pauline Sales, pièce qu’il recrée en avril 2018 au TNP. En 2012, il fonde sa compagnie L’Exalté et crée Nina, c’est autre chose de Michel Vinaver, Lune jaune, la ballade de Leila et Lee de David Greig au TNP et, en 2015, Cœur d’acier de Magali Mougel. Il a créé, en 2017, Mon prof est un troll de Dennis Kelly avec les Tréteaux de France.
Depuis 2015, il est réalisateur de fictions radiophoniques pour France Culture, parmi lesquelles Chapitres de la chute de Stefano Massini, Des profondeurs de Juliette Rose et Cyril Legrais, Le monstre du couloir de David Greig… Il est également en charge des « Scènes Imaginaires, portraits de metteurs en scène européens » et des « Livres à l’écoute » à l’Odéon – Théâtre de l’Europe, en partenariat avec France Culture.
Alexis Moati – metteur en scène
Né à Morlaix en 1970 un peu par hasard alors que ses parents étaient en tournée, Alexis Moati décide, après avoir vu un spectacle (Ariane ou l’âge d’or), de partir à Marseille en pension pour passer le premier bac A3 théâtre. C’est à cette occasion qu’il rencontre Jean-Pierre Raffaelli, qui alors dirige l’Atelier du Théâtre National de Marseille, et qu’il intègre cette école à l’intérieur d’un théâtre. Il travaille avec Memet Ullussoy, François Verret, Alain Knapp, Cécilia Hornus, Marcel Maréchal… A la sortie de l’école, il fonde, avec dix acteurs de sa promotion, la compagnie L’Équipage. Ils travaillent ensemble pendant cinq ans, investissent des lieux qui ne sont pas des théâtres et organisent des tournées sous chapiteau. Ils jouent Woyzeck de Büchner, Lulu de Wedekind, Alpha Reine de Louis Guilloux, Le chariot de terre cuite de Claude Roy, Il y a quelque chose qui marche derrière moi. Il y fait ses premières mises en scène : Zoa de Gilles Robic et Les Archanges ne jouent pas au flipper de Dario Fo.
En 1995, il décide de quitter la compagnie et choisit de travailler au service d’autres metteurs en scène : Hubert Colas, Jean Boillot, Françoise Chatôt, Henry Moati, Jeanne Mathis, Pierre Laneyrie, etc. ; il s’essaie au cinéma puis à la télévision. Se rappelant que quand il entre en scène sans rien faire les gens rient, il crée la compagnie Vol Plané avec Jérôme Beaufils (un ancien de la Criée) au sein de laquelle ils produisent des duos burlesques qui tournent énormément : Il y a quelque chose qui marche derrière moi et Drôle de silence. En 2001, on lui propose de mettre en scène La nuit au cirque d’Olivier Py. Et un jour il tombe sur un texte, dont le titre l’avait toujours intrigué et séduit : Liliom, qui l’émeut. Il traduit ce texte avec Stratis Vouyoucas et Kristina Rady et en assure la mise en scène avec Stratis. En
2005-2006, toujours avec Stratis Vouyoucas, il met en scène Les larmes amères de Petra von Kant de R.W.Fassbinder, en coproduction avec le Théâtre Gyptis. En 2006, il crée, Il y a quelque chose de très satisfaisant dans le monde moderne, un troisième et dernier duo burlesque, avec la collaboration de Jérôme Beaufils et Stratis Vouyoucas. Avec Pierre Laneyrie, il met en scène Le Malade imaginaire en 2008, L’Avare en 2011, et Alceste(s) en 2016. Au théâtre du Gymnase à Marseille, où il est alors artiste en résidence, il met en scène Peter Pan en 2009, premier volet d’une trilogie sur la fin de l’enfance, qui sera suivi en 2013 par Petites Sirènes puis en 2015 par Et le diable vint dans mon coeur… à l’Espace des Arts de Chalon-sur Saône où il est artiste associé de 2012 à 2017, avant de rejoindre la Bande du Merlan scène nationale de Marseille. De 2014 à 2017, il a été l’artiste à l’a(e)ncre de la Gare Franche. Actuellement, il quitte le monde de l’adolescence pour s’intéresser à la question de la transmission familliale avec sa nouvelle création Happy birthday Sam !
Alexandra Tobelaïm – metteuse en scène
Diplômée de l’École Régionale d’Acteurs de Cannes, formée à la mise en scène auprès de Jean-Pierre Vincent et Hubert Colas, Alexandra Tobelaim dirige depuis 1998 sa propre compagnie, Tandaim. Qu’il s’attache au répertoire ou mette en écoute des textes contemporains, qu’il se donne en salle ou dans l’espace public, son travail poursuit un seul but : la création d’un théâtre contemporain, exigeant et pour le plus grand nombre. Tout autant concernée par la représentation théâtrale que par sa réception, Alexandra Tobelaim mène parallèlement à ses créations de nombreux ateliers à destination de tous les publics. Soucieuse des questions de transmission, elle enseigne, par ailleurs, aux élèves comédiens de l’ERAC.
Toujours en quête de formes inattendues et atypiques, elle multiplie les propositions singulières comme par exemple Le Boucher d’après Alina Reyes pour une comédienne, un musicien et 200 haut-parleurs, Pièce(s) de cuisine, commande de textes à 9 auteurs dont la version intégrale de 4 heures 30 mêlait nourriture et spectacle, La seconde surprise de l’amour / une douleur exquise de Marivaux, un classique faisant appel au travail de Sophie Calle, Le mois du chrysanthème, création 2016 pour 25 comédiens et 5 enfants dans l’espace public.
Depuis ses débuts, elle a tissé des liens de fidélité avec certains théâtres et ses mises en scène sont désormais présentées partout en France et en Suisse dans des institutions nationales et des réseaux complémentaires, notamment à La Scène nationale de Cavaillon, au Théâtre national de la Criée à Marseille, à La Faïencerie à Creil, à La Passerelle scène nationale de Gap et des Alpes du Sud, au Festival Textes en l’air de Saint-Antoine-l’Abbaye, au Festival de Figeac, au Théâtre National de Nice, dans le réseau des ATP, à Théâtre en Dracénie à Draguignan, au théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence, au Théâtre du Cadran à Briançon, au Théâtre de Grasse, dans le réseau Chaînon manquant, au Théâtre du Saulcy à Metz, au Théâtre de la Madeleine à Troyes, au Centre Dramatique National de l’Océan Indien, à la Réunion, au Théâtre National de Bordeaux Aquitaine…
Au-delà de la commande d’écriture pour ses créations (Pièce(s) de cuisine, Villa Olga), sa volonté de faire entendre les textes contemporains la conduit à initier à Cannes un cycle de « spectures » (The great disaster de Patrick Kermann, Debout de Nathalie Papin…) et à mettre en lecture à Paris et Marseille des auteurs étrangers (Petr Zelenka, Clare Azzorpardi, Roberto Cavosi, Davide Enia…) notamment à l’invitation du festival Actoral et du Théâtre national de l’Odéon.
Depuis 10 ans, la compagnie a connu un essor considérable, avec l’élargissement notable de la diffusion de ses spectacles sur l’ensemble du territoire français et même au-delà, avec plus de 70 représentations par saison. Les dernières créations, Face à la mère, de Jean-René Lemoine et In-Two, Théâtre en boîtes pour passants, sont actuellement en tournée, portées par une fidèle équipe de collaborateurs artistiques, techniques et administratifs.
Alexandra Tobelaim initie et participe à de nombreux groupes de réflexion en lien avec la création théâtrale et sa production en région. Depuis 2010, elle est également intervenante à l’École Régionale d’Acteurs de Cannes, participant à la sélection comme à la formation des élèves.
Aurélie Van Den Daele – metteuse en scène
Après une formation de comédienne au Conservatoire national de région de Clermont-Ferrand, puis au Magasin à Malakoff, elle suit des stages avec Antoine Caubet, Jean-Claude Cotillard et Patrice Bigel.
Peu à peu s’impose comme une évidence le désir de se consacrer exclusivement à la mise en scène. En 2011, elle intègre la promotion de formation continue à la mise en scène du CNSAD, Conservatoire National supérieur d’art dramatique de Paris.
Au sein du DEUG DOEN GROUP (anciennement compagnie Bricole), elle crée en 2008 LukaLila de Suzie Bastien à la fabrique du Vélodrome de la Rochelle, puis au centre culturel canadien de Paris. En 2010, elle crée Top Girls de Caryl Churchill à l’Espace Icare d’Issy les Moulineaux. Le spectacle est repris notamment à la Ferme de bel Ebat à Guyancourt, dans le cadre d’une résidence territoriale.
Pour la saison 2013-2014, elle créera un diptyque qui explore les liens théâtre/cinéma et les mécanismes de la monstruosité dans le huis clos avec les deux pièces suivantes: Peggy Pickit voit la face de Dieu de Roland Schimmelpfennig (Création à la Ferme de Bel Ebat, puis au Collectif 12 et au Théâtre de la Verrière) et Dans les veines ralenties (création à la Ferme du puis au Théâtre de l’Escale, après une résidence à l’Aquarium).
A l’automne 2013, elle assistera Antoine Caubet pour la création d’Oedipe- Roi de Sophocle à la Scène Nationale de Cergy-Pontoise et au Théâtre de l’Aquarium, dans le cadre d’un compagnonnage DRAC ILE DE FRANCE. Elle l’avait déjà assisté lors de la création de Un Marie-Salope de Jean-Paul Quéinnec.
Elle assiste Quentin Defalt pour les spectacles Lancelot, le chevalier de Merlin de Gaëtan Peau et pour Contes, d’après Andersen et Grimm, joué au Théâtre de la Porte Saint-Martin et en tournée.
Elle travaille également avec le Théâtre perché pour des projets IN SITU (ville et foret).
Passionnée par la transmission, elle donne des ateliers, avec l’Apostrophe, scène nationale de Cergy-Pontoise, la Ferme de Bel Ebat et avec des nombreux types de publics dans des structures diverses. Elle a mis en scène Oh quand les saints de Roland Nadaus, commande de la Ferme de Bel Ebat et de la communauté d’agglomération, avec un groupe d’amateurs.
Elle mettra en scène Tchatland de Dominique Sampierro à la ferme de Bel Ebat, au printemps 2014.
Elle a également travaillé à l’étranger, aveç des enfants de la rue en Equateur et un orphelinat au Vietnam.
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