Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Cliquez pour ouvrir le champ de recherche Cliquez pour ouvrir le champ de recherche Rechercher
  • Menu Menu

L’auteure franco-irakienne, Tamara Al Saadi remporte le prix du jury du Festival Impatience 2018

Actu, Paris, Théâtre

‏

Le jury du festival Impatience 2018, présidé par le comédien et metteur en scène Charles Berling, a dévoilé hier soir au Théâtre de Gennevilliers, son palmarès. Le Prix Impatience est décerné à la Compagnie La Base pour Place, une mise en scène de Tamara Al Saadi. Ce spectacle reçoit également le prix des Lycéens. Auteure franco-irakienne, Tamara Al Saadi décrit le sentiment qu’éprouvent souvent les « étrangers » à n’être jamais au bon endroit, la quête permanente de légitimité dans les yeux des autres et les dégâts qu’engendre l’assimilation. Comment apprendre à être au monde malgré la culpabilité de ne pas connaître son pays d’origine et la honte de ne pas connaître son pays d’accueil ?

La SACD décerne son prix à Anne Sibran pour Je suis la bête. La poésie d’Anne Sibran, mise en scène et interprétée par Julie Delille, s’empare des allégories classiques du conte pour mieux les nuancer, en même temps que les paradigmes hérités des Lumières. C’est dans le clair-obscur, toujours à la lisière, que Je suis la bête redistribue les rapports au monde dit « civilisé » et à ce que l’on considère trop vite comme son « envers », la nature.

Le choix du public s’est porté sur J’abandonne une partie de moi par le Groupe Nabla. Un subtil questionnement de la notion de bonheur, basé sur le célèbre documentaire Chronique d’un été (1960). Au fil de ses habiles allers-retours entre les époques, J’abandonne une partie de moi que j’adapte, se dessinent quelques changements, qui touchent surtout au vocabulaire et aux attitudes. Et beaucoup de stagnations. Après un saut temporel par exemple, le monologue néolibéral d’un patron marque en effet une parfaite continuité avec les souffrances ouvrières et étudiantes exprimées auparavant. Lesquelles auguraient un vent nouveau…

La 10e édition du festival Impatience était organisée par Télérama, le CENTQUATRE-PARIS, le T2G‑Théâtre de Gennevilliers et le Jeune Théâtre National.

13 décembre 2018/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Le Festival d’Alba 2023
Le festival Signes de printemps 2023
Festival Passement de jambes au Nouveau Théâtre de Montreuil
Le festival des 7 collines 2022
Les feux de Vire 2022
Stories from Europe : un festival numérique de plusieurs grands théâtres européens
Latitudes Contemporaines 2019
Nos disque sont rayés #5 au Rond-Point
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

Search Search
© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut Faire défiler vers le haut Faire défiler vers le haut