Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Chloé Dabert au Festival d’Avignon 2018 avec Iphigénie de Racine

Actu, Festival d'Avignon, Théâtre

Avec Iphigénie, Chloé Dabert poursuit son travail sur le rythme des écritures et choisit de faire entendre l’alexandrin de Racine. L’action ne se passe pas dans le secret d’un palais, mais à l’extérieur : près de la mer, sur une plage, dans un camp militaire où son siège laisse les hommes en proie à l’épuisement, la frustration, la colère et la faiblesse. Autant de conditions qui donnent libre cours à un oracle cruel, porté par le fanatisme de quelques-uns. Une brèche inévitable créée par l’attente infinie et insupportable. Et c’est sur Agamemnon que porte la première expérience. Va-t-il ou non se plier aux Dieux ? Va-t-il sacrifier sa fille pour que le vent se lève et se lancer enfin en guerre ? Le choix, la lâcheté, la détermination et le regard que nous portons sur les autres sont au coeur de cette immense pièce.

Issue du Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris, Chloé Dabert joue notamment sous la direction de Joël Jouanneau, Jeanne Champagne et Madeleine Louarn. Elle travaille régulièrement à partir d’écritures contemporaines telles que celles de Christophe Honoré, Roland Dubillard et Dennis Kelly. En 2012, elle fonde avec Sébastien Eveno la compagnie Héros-limite, installée en Bretagne. Avec Orphelins en 2014, elle est lauréate du festival de théâtre émergent Impatience, puis débute un compagnonnage en tant qu’artiste associée avec le Centquatre-Paris (2015), le Quai à Angers (2016) et est en résidence à l’Espace 1789 de Saint-Ouen (2017). En janvier 2018, elle mettra en scène à la Comédie-Française J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce avant d’être accueillie pour la première fois au Festival d’Avignon.

Production Cie Héros-limite, Le Quai Centre dramatique national d’Angers-Pays de la Loire
Coproduction Espace 1789 Saint-Ouen, scène conventionnée pour la danse, Théâtre national de Bretagne, La Passerelle Scène nationale de Saint-Brieuc (en cours)
Avec le soutien du Centquatre-Paris

Rencontre à la FabricA avec Chloé Dabert à propos de Iphigénie animée par Michel Flandrin
mardi 7 novembre à 19h30
Entrée libre
Réservation conseillée au 04 90 27 66 50 ou public@festival-avignon.com

16 octobre 2017/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
La saison 17/18 de la Comédie-Française : le calme avant la Tempête ?
Mélodie Richard, lumineuse Bérénice
Guy Cassiers met en scène Bérénice de Racine au Théâtre du Vieux-Colombier Comédie-Française À la Comédie-Française, Guy Cassiers pousse « Bérénice » dans ses retranchements
Stéphane LavouéEric Ruf : « Pourquoi je recrée Bajazet de Racine ? »
Un Bajazet ? Oui mais sans passion !
Isabelle Huppert dans Bérénice mise en scène Romeo Castellucci d'après Racine Domaine d'O Théâtre de la VilleIsabelle Huppert, une Bérénice au supplice
Thomas Jolly de retour au Festival d’Avignon 2018 cet été
Britannicus, un casse presque parfait
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut