Jacques Gamblin a un talent fou. C’est un auteur qui déguste les mots comme des friandises, un comédien que le cinéma et le théâtre se disputent. Il n’a qu’un regret : la musique n’a pas voulu de lui.
Le « djazz » en particulier, qui lui fait de drôles de choses à la « djambe », aux tripes et au cœur. Il lui aura fallu la rencontre avec le grand jazzman, Laurent de Wilde, pour réaliser ce rêve improbable : dire la musique et jouer les mots. Après Tout est normal mon cœur scintille, donné à Suresnes en 2010, le voilà qui raconte l’histoire d’une femme fascinante, à coups de mots qui chantent et de musique qui parle. Accompagnés de cinq musiciens (contrebasse, batterie, trompette, saxophone, platines), les deux complices (voix et piano) inventent un spectacle inclassable, une histoire d’accords et de rendez-vous en « parlé-rythmé-slammé » traversée de funk, de groove et de blues, une chimère artistique au charme exquis. Dossier de presse.
Ce que le djazz fait à ma djambe
Textes de Jacques Gamblin et extraits de Entretiens avec Herbie Hancock de Laurent de Wilde, Really the blues de Mezz Mezzrow et Bop de Langston Hughes
Production Jazz sous les pommiers – CCAC.
Coproduction Maison de la Culture de Bourges – scène nationale.
Avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication de la région Centre, du conseil départemental du Cher, la ville de Bourges avec le soutien du CNV et de l’ADAMIReprise Du 6 janvier au 4 février 2017
Théâtre de l’Atelier
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