Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Cliquez pour ouvrir le champ de recherche Cliquez pour ouvrir le champ de recherche Rechercher
  • Menu Menu

La Tempête de William Shakespeare dans la version de Juliette Rizoud

Théâtre, Villeurbanne
Michel Cavalca

photo Michel Cavalca

Comme dans les rêves, tout est possible. L’envie première est là : raconter une grande histoire, emmener les spectateurs sur la falaise surplombant l’île mystérieuse sur laquelle Prospero, ancien duc de Milan, a été exilé de force avec sa fille Miranda, douze ans avant le début de la pièce, trahi par son propre frère. Grâce aux pouvoirs surnaturels qu’il a développés sur l’île, il provoque le naufrage du vaisseau où sont réunis tous ses ennemis. « Le calme avant la tempête » dit‑on, mais ici tout s’inverse. Le bruit précède le silence. Dans l’ombre, Prospero fera subir à ses naufragés une série d’épreuves pour les punir de leur traîtrise passée… Considérée comme la dernière pièce de Shakespeare, La Tempête couronne les réflexions qui parsèment son œuvre. Trahisons, vengeance, ivresse de pouvoir, s’immiscent dans une histoire qui a pour sujet véritable la toute‑puissance du livre, chemin vers la liberté. Sur scène, entouré par des instruments aussi divers qu’un tambour, un didgeridoo, un saxophone ou un bol de cristal, le musicien improvise une atmosphère envoûtante. Ses airs guident les mouvements des comédiens qui prennent d’assaut le plateau, terrain de jeu organisé autour d’un tréteau circulaire en bois. Avec la générosité propre à l’esprit de troupe, les comédiens de La Bande à Mandrin s’emparent de cette œuvre.

La Tempête
de William Shakespeare / traduction et mise en scène Juliette Rizoud
avec Clément Carabédian, Gilles Chabrier, Claire Galopin, Julien Gauthier, Damien Gouy, Jérôme Quintard, Thomas Puybasset
composition et interprétation musicale Thomas Puybasset
chorégraphie Aurélien Kairo
décor Guillaume Ponroy, Quentin Lugnier
lumières Mathilde Foltier-Gueydan, Rémi El Mahmoud
son Cédric Chaumeron
costumes Adeline Isabel-Mignot
maquillages et coiffures Gauthier Magnette
assistante à la mise en scène Sidonie Fauquenoi

production La Bande à Mandrin
coproduction La Machinerie – Théâtre de Vénissieux, Théâtre Théo Argence, Saint-Priest, le Conseil Général de l’Isère, la Région Auvergne – Rhône-Alpes

Durée : 2h10 — Spectacle

TNP de Villeurbanne
2 – 18 avril 2020
Petit théâtre, salle Jean-Bouise

5 janvier 2020/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Le songe d’une nuit d’été de William Shakespeare par Juliette Rizoud
Katherine/Petruchio de Claire Bosse-Platière d’après La Mégère Apprivoisée de William Shakespeare
Un fil à la patte de Feydeau par le Collectif7
« Hamlet » à la conquête de l’universel
Shakespeare à l’honneur au Théâtre National de Nice
Arny Berry adapte Macbeth
Sylvain Levitte met en scène Le Conte d’hiver de Shakespeare
Macbeth, le cas de conscience superficiel de Christiane Jatahy
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

Search Search
© Sceneweb | Création site et Maintenance WordPress par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut Faire défiler vers le haut Faire défiler vers le haut