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Un Festival de Danse de Cannes au féminin pluriel

Actu, Cannes, Danse

Leslie Andrea Williams dans Steps in the Street de Martha Graham’s photo Hibbard Nash Photography

Pour sa dernière édition en tant que directrice, Brigitte Lefèvre met les femmes à l’honneur : chorégraphes ou héroïnes « afin de fêter la danse et retrouver l’effervescence essentielle de la diversité chorégraphique ». Tout un programme. Notre sélection.

Martha Graham

Joli coup pour le Festival de Danse de Cannes qui s’offre en ouverture la seule étape française d’une brève tournée de la Martha Graham Dance Company. Un programme de choix entre répertoire (Ekstasis de 1933 ré-imaginé par Virginie Mécène en 2017), Actes of light ou création (Umbra de Andrea Miller). Sans oublier Steps in the Street. Dirigée par Janet Eilbert, la troupe a réussi, non sans mal, à (sur)vivre sans Martha.
Pourquoi la voir ? On dira que les danseurs de la Martha Graham Dance Company ont une capacité à vivre le passé comme le présent de la danse Grahamienne

Louise Lecavalier

La canadienne, révélée dans les années 80 par Edouard Lock, se réinvente depuis à chaque création. Louise signe ainsi Stations. On en attend beaucoup. « Elle porte dans tous son corps toutes ses années de pratique, ce que je trouve très émouvant » résume Brigitte Lefèvre admiratrice de la première heure.
Pourquoi la voir ? Tout simplement parce que Louise Lecavalier est la plus grande danseuse contemporaine de son temps

Bintou Dembélé

En l’invitant à chorégraphier les parties dansées des Indes galantes à l’Opéra de Paris, le metteur en scène et plasticien Clément Cogitore a placé Bintou Dembélé sous les projecteurs.

Pourtant elle avait déjà à son actif plusieurs spectacles de danses urbaines, « des états de corps » entre hip hop et K.R.U.M.P. S/T/R/A/T/E/S, attendu à Cannes, date de 2015. Et prouve que Dembélé est là pour durer.

Pourquoi la voir ? Personnalité entière, Bintou Dembélé revendique « la liberté de ne pas cloisonner ».

Dominique Brun

En parallèle à ses aventures avec le Ballet de l’Opéra de Paris (elle « remonte » Le Sacre du printemps à Garnier), Dominique Brun reprend sa tournée avec un programme Ballets russes autour des Noces de Nijinska, du Sacre # 2 avec des interprètes contemporains ou un Boléro survolé par François Chaignaud. Erudite, Dominique Brun conjugue l’esprit des ballets de Diaghilev au présent.
Pourquoi la voir ? Une pièce avec 30 danseurs, cela ne se refuse pas

Elisabeth Schwartz

Jérôme Bel a eu la belle idée de demander à la danseuse et « historienne » Elisabeth Schwartz de l’accompagner pour un voyage dans l’Histoire de la danse. Isadora Duncan tient à la fois de la conférence, du solo et de la performance participative. Elisabeth s’y révèle telle qu’en elle-même, passionnée.
Pourquoi la voir ? Parce que l’on croyait tout savoir sur Isadora et qu’on en apprend encore dans cet exercice de style

Mié Coquempot

Offrande est à la fois un hommage à Mié Coquempot, trop tôt disparue, et à la musique de Bach. La pièce est également un entrelacs de talents, Béatrice Massin et Bruno Bouché y contribuant. « C’est une pièce de transmission qui porte haut les valeurs du partage » témoigne Brigitte Lefèvre.
Pourquoi la voir ? A l’évidence pour saluer la mémoire de Mié.

Philippe Noisette – www.sceneweb.fr

Festival de Danse de Cannes du 27 novembre au 12 décembre 2021
www.festivaldedanse-cannes.com

27 novembre 2021/par Philippe Noisette
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