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Trilogie Dave St-Pierre au Théâtre de la Ville

À la une, Agenda, Danse, Paris

Dave St-Pierre photo de son profil facebook

Le public français découvre le québécois Dave St-Pierre en 2009 au Festival d’Avignon avec Un peu de tendresse bordel de merde !, pièce créée en 2006. Deuxième volet de la trilogie Sociologie et autres utopies contemporaines. Succès, choc, ses danseurs nus mettent en joie le Cloître des Célestins. Pourant Dave St-Pierre dérange. On le dit provocateur ou naïf, on l’accuse d’être vulgaire, on lui reproche de copier Pina Bausch ou Wim Vandekeybus, quand on ne jalouse pas son succès.  Son affaire à lui, ce qui occupe ses interprètes sur le plateau, qu’ils soient cul nu ou habillés, en perruque ou en cheveux, à talons hauts ou pieds nus, ce sont les grands sujets, l’amour, la vie, la mort, les émotions, le sexe, le couple, l’ambivalence des sentiments, tout ce qui fait la condition d’humain dans une époque tourneboulée. Chez Boursier des Ateliers de danse moderne de Montréal, il travaille avec la compagnie Brouhaha Danse, puis avec Daniel Léveillé, auprès duquel il acquiert une renommée d’interprète. Il crée ses premières pièces au début des années 2000. La Pornographie des âmes, en 2004, marque les esprits. Une tournée européenne consacre ce spectacle, notamment en Allemagne. L’ensemble forme une exploration des rites de l’amour contemporain dont Dave St-Pierre est autant l’ethnologue, observant son étrange tribu d’hommes et de femmes en manque et en quête de désirs, de plaisirs et de rencontres, que le chorégraphe, lançant les corps les uns contre les autres, les uns avec les autres. Il aime mettre à nu ces corps et leur rendre une énergie parfois primitive, souvent collective, sans crainte de les placer dans un univers épique, violent, désespéré, mais également burlesque ou sentimental. Il y a là un goût de la scène, du show, de la provocation qui lui permet de transgresser codes sociaux et artistiques. Mais aussi une forte attention, un souci de l’autre, distribués vers chacun (interprètes et spectateurs), comme si tous se retrouvaient finalement liés dans un grand récit initiatique : celui de notre curiosité à aimer, alors que c’est parfois si compliqué. D’après différents dossiers de presse.

Trilogie Dave St-Pierre

Théâtre de la Ville

Du 6 au 15 février 2014

5 février 2014/par Dossier de presse
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