Thierry Godard, comédien star des séries télé (Un Village Français, Engrenages) est nommé pensionnaire à partir du 2 septembre 2024. Il interprétera ses premiers rôles, Monsieur Diafoirus et Monsieur Purgon dans la reprise du Malade imaginaire de Molière dans la mise en de Claude Stratz.
Formé par Jacqueline Duc aux textes classiques, par Robert Cordier où il s’imprègne des techniques de l’Actors Studio, puis au Studio Pygmalion, Thierry Godard connaît ses premières expériences d’acteur dans des pièces de Beckett, Duras, Büchner, Shakespeare, Molière, Dubillard, Marivaux, Courteline, Strindberg, et fait aussi un passage dans la compagnie de théâtre de rue dijonnaise, 26 000 couverts. Il joue notamment dans Où boivent les vaches, dans La Pluie d’été mise en scène par Éric Vigner et dans Mademoiselle Julie mise en scène par Robin Renucci.
Il est rapidement appelé par le petit écran qu’il ne quittera plus. Il tourne d’abord dans la série à succès Engrenages pour Canal Plus qu’il poursuivra pendant près de quinze ans, puis dans Un village français décliné sur sept saisons pour France Télévisions. Suivront de nombreuses propositions, notamment La Disparition de Jean-Xavier de Lestrade, Les Complices de Christian Vincent, la série Les Dames d’Alexis Lecaye ou encore Palace Beach Hôtel de Philippe Venault. Plus récemment, on le retrouve dans les séries Germinal créé par Julien Lilti et réalisé par David Hourrègue, Oussekine d’Antoine Chevrollier, puis Cœurs noirs créés par Duong Dang-Thai et Corine Darfi, réalisés par Ziad Doueiri.
Il débute au cinéma sous la direction de Philippe Lioret dans Welcome, puis joue dans Pour elle de Fred Cavayé ou plus récemment dans Juillet août et Le Monde d’hier de Diastème, dans La Sainte Famille de Louis-Do de Lencquesaing ou dans Sans toi de Sophie Guillemin.
À l’international, Thierry Godard est au casting d’Andor saison 2, il vient de terminer la saison 2 de la mini-série espagnole et japonaise The Head diffusée sur Canal Plus. En 2024, il est à l’affiche de L’École des espions film d’Elsa Benett.
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