Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Sylvain Maurice : « Réparer les vivants est une célébration de la vie ! »

Les interviews, Sartrouville, Théâtre
Sylvain Maurice © J.M. Lobbé

Sylvain Maurice © J.M. Lobbé

Sylvain Maurice, directeur du CDN de Sartrouville met en scène, Réparer les vivants, le best-seller de Maylis de Kerangal comme une course contre la montre. Ce texte est une ode à la vie, un texte théâtral porté un formidable Vincent Dissez. Rencontre avec le metteur en scène.

A partir de quel moment vous vous êtes dit : « je vais adapter ce roman » ?

Je l’ai acheté peu de jours après sa parution et j’ai tout de suite envoyé une lettre à Maylis de Kerangal. La langue est haletante et concrète. Elle est lyrique et parfois triviale. Et puis cela raconte la vie et la mort. C’est à la fois drôle et tragique. Je pense que ce livre a touché des tas de gens de façon très différente que l’on ait déjà été confronté ou pas à la mort. Il est à la fois exigent et populaire.

Dans la façon dont vous le mettez en scène, c’est une sorte de course contre la montre où l’on passe de la mort à la vie.

Oui c’est une célébration de la vie qui démarre tout de même de façon tragique avec la mort de ce jeune homme. Mais le génie de Maylis de Kerangal est de raconter toutes les étapes du deuil et comment on va convaincre les parents de donner ses organes pour continuer de vivre dans un autre corps. Elle ne sépare pas la vie de la mort.

Avec cette matière comment viennent les idées de mise en scène ?

Il y avait cette idée de la course contre la montre avec une chaine humaine complexe. J’ai donc imaginé ce tapis roulant sur lequel court Vincent Dissez. C’est une idée scénique simple avec une structure qui avance avec au sommet un musicien qui incarne le temps. Cette chaine humaine c’est aussi un réseau moderne qui se raconte à travers la musique. Et puis la musique ce sont les battements du cœur.

Propos recueillis par Stéphane CAPRON – www.sceneweb.fr

1 février 2016/par Stéphane Capron
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
« L’apprentissage » de Jean-Luc Lagarce, mise en scène par Sylvain Maurice avec Alain Macé
Deux visions de Pluie d’été de Duras par Sylvain Maurice
Tazzio ParisSylvain Maurice
Une cuisine au goût amer
Qui pour diriger le Théâtre de Lorient en 2023 ?
Sylvain Maurice au pays d’« Arcadie »
Quelle place pour les adaptations de « best-sellers » sur les scènes françaises ?
Sylvain Maurice adapte La Pluie d’été de Duras pour jeune public
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut