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Soirée Forsythe, Ek, A.T. De Keersmaeker en ouverture de la saison du ballet de l’Opéra de Lyon

Danse
Stofleth

Trois grandes pointures de la danse sont conviées le temps de cette soirée de rentrée à la Maison de la Danse, à la conquête de la puissance évocatrice des liens entre la danse et le son. Avec une promesse : celle de nous faire écouter la danse et voir la musique.

N.N.N.N., orchestre sans instruments
Touche-à-tout de génie, William Forsythe n’aime rien tant que confronter la danse néoclassique aux expérimentations – et aux nouveaux médias comme partie intégrante de l’œuvre chorégraphique. Tout en mobilité et en souplesse, son langage se nourrit des impulsions et résonnances propres au corps. Son quatuor N.N.N.N. est un orchestre de chambre sans instruments dont le son provient des danseurs : impacts doux, claques, râles. Au fil de la pièce, les danseurs s’accordent comme les rouages d’une mécanique bien orchestrée mais huilée de touches clownesques.

Solo for Two, la solitude d’être deux
Créée à l’origine pour l’écran sous le nom de Smoke, Solo for Two est la version scénique de ce solo à deux. Dans un intérieur bleu poudré épuré, Mats Ek organise la vie d’un couple, entre difficulté d’être à deux et désir de solitude. Sur trois compositions mélancoliques du maître estonien Arvo Pärt, on y retrouve le style caractéristique du chorégraphe suédois : pieds flex, dos courbés et profonds pliés détournant l’académisme. Un duo passionné et passionnant, subtilement érotique, espiègle et complice.

Die Grosse Fuge, écouter la danse et voir la musique
C’est une résonance intime avec La Grande Fugue op.133 de Beethoven que propose Anne Teresa de Keersmaeker dans cette Grosse Fuge entrée au répertoire du Ballet de Lyon en 2006. Une quinzaine de minutes de notes tantôt graciles, tantôt impétueuses, pour un quatuor à cordes libre et recherché. La chorégraphe y transpose les contre-points en une série de phrases gestuelles répétée en écho par six danseurs et deux danseuses en pantalons de smoking et chemises fluides. Une œuvre volontairement dénuée d’esthétisme qui célèbre la liberté des corps et assume la masculinité de son vocabulaire. Et témoigne du dépouillement à l’œuvre chez la chorégraphe, passée maître dans l’art d’écouter la danse et voir la musique.

N.N.N.N.
Entrée au répertoire

Chorégraphie
William Forsythe

Musique
Thom Willems

Scénographie, lumières et costumes
William Forsythe

Ballet de l’Opéra de Lyon

Solo for Two

Chorégraphie
Mats Ek

Musique Arvo Pärt For Aline, Variationen Zur Gesundung Von Arinuschka, Mirror in Mirror

Lumières
Erik Berglund

Scénographie, Costumes
Peter Freij

Ballet de l’Opéra de Lyon

Die Grosse Fuge

Chorégraphie
Anne Teresa De Keersmaeker

Musique
Ludwig van Beethoven, Die Grosse Fuge, op.133, Quatuor Debussy (2006)

Lumières, Scénographie
Jan Joris Lamers

Costumes
Rosas

Mise en scène
Jean-Luc Ducourt

Ballet de l’Opéra de Lyon

Opéra de Lyon
Du 14 au 18 septembre 2021

28 juillet 2021/par Dossier de presse
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