Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Cliquez pour ouvrir le champ de recherche Cliquez pour ouvrir le champ de recherche Rechercher
  • Menu Menu

Soirée Forsythe, Ek, A.T. De Keersmaeker en ouverture de la saison du ballet de l’Opéra de Lyon

Danse
Stofleth

Trois grandes pointures de la danse sont conviées le temps de cette soirée de rentrée à la Maison de la Danse, à la conquête de la puissance évocatrice des liens entre la danse et le son. Avec une promesse : celle de nous faire écouter la danse et voir la musique.

N.N.N.N., orchestre sans instruments
Touche-à-tout de génie, William Forsythe n’aime rien tant que confronter la danse néoclassique aux expérimentations – et aux nouveaux médias comme partie intégrante de l’œuvre chorégraphique. Tout en mobilité et en souplesse, son langage se nourrit des impulsions et résonnances propres au corps. Son quatuor N.N.N.N. est un orchestre de chambre sans instruments dont le son provient des danseurs : impacts doux, claques, râles. Au fil de la pièce, les danseurs s’accordent comme les rouages d’une mécanique bien orchestrée mais huilée de touches clownesques.

Solo for Two, la solitude d’être deux
Créée à l’origine pour l’écran sous le nom de Smoke, Solo for Two est la version scénique de ce solo à deux. Dans un intérieur bleu poudré épuré, Mats Ek organise la vie d’un couple, entre difficulté d’être à deux et désir de solitude. Sur trois compositions mélancoliques du maître estonien Arvo Pärt, on y retrouve le style caractéristique du chorégraphe suédois : pieds flex, dos courbés et profonds pliés détournant l’académisme. Un duo passionné et passionnant, subtilement érotique, espiègle et complice.

Die Grosse Fuge, écouter la danse et voir la musique
C’est une résonance intime avec La Grande Fugue op.133 de Beethoven que propose Anne Teresa de Keersmaeker dans cette Grosse Fuge entrée au répertoire du Ballet de Lyon en 2006. Une quinzaine de minutes de notes tantôt graciles, tantôt impétueuses, pour un quatuor à cordes libre et recherché. La chorégraphe y transpose les contre-points en une série de phrases gestuelles répétée en écho par six danseurs et deux danseuses en pantalons de smoking et chemises fluides. Une œuvre volontairement dénuée d’esthétisme qui célèbre la liberté des corps et assume la masculinité de son vocabulaire. Et témoigne du dépouillement à l’œuvre chez la chorégraphe, passée maître dans l’art d’écouter la danse et voir la musique.

N.N.N.N.
Entrée au répertoire

Chorégraphie
William Forsythe

Musique
Thom Willems

Scénographie, lumières et costumes
William Forsythe

Ballet de l’Opéra de Lyon

Solo for Two

Chorégraphie
Mats Ek

Musique Arvo Pärt For Aline, Variationen Zur Gesundung Von Arinuschka, Mirror in Mirror

Lumières
Erik Berglund

Scénographie, Costumes
Peter Freij

Ballet de l’Opéra de Lyon

Die Grosse Fuge

Chorégraphie
Anne Teresa De Keersmaeker

Musique
Ludwig van Beethoven, Die Grosse Fuge, op.133, Quatuor Debussy (2006)

Lumières, Scénographie
Jan Joris Lamers

Costumes
Rosas

Mise en scène
Jean-Luc Ducourt

Ballet de l’Opéra de Lyon

Opéra de Lyon
Du 14 au 18 septembre 2021

28 juillet 2021/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Anne Teresa De Keersmaeker : chorégraphe tyrannique ?
Éric Ruf et la Comédie-Française présentent Le Soulier de Satin de Claudel dans la Cour d'honneur au Festival d'Avignon 2025 Un 79e Festival d’Avignon en mal de découvertes
Jérôme Robbins et Mats Ek à Garnier
La saison 2022/2023 de La Villette
La saison 2018/2019 du Théâtre de la Ville: Isabelle Huppert, Bob Wilson, Thomas Ostermeier, Ivo van Hove, Anne Teresa de Keersmaeker et Maguy Marin
Impressing the Czar de William Forsythe par le Semperoper Ballett de Dresde à Garnier
Anne Teresa de Keersmaeker crée Les Variations Goldberg BWV 988 au Theatre du Chatelet Les Variations Goldberg en noir et or de Keersmaeker
Une soirée avec Forsythe et la Compañía Nacional de Danza
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

Search Search
© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut Faire défiler vers le haut Faire défiler vers le haut