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Robert Carsen monte Elektra à Bastille

Agenda, Opéra, Paris

photo Charles Duprat OnP

« Le temps d’un lent crépuscule ». Telle est l’indication scénique d’ Hofmannsthal pour la représentation d’Elektra, tragédie en un acte de Richard Strauss, d’une violence et d’une noirceur inouïes. Telle est aussi l’expression que l’on a coutume de donner aux derniers feux de l’Empire austro‑hongrois et de toute une Europe cosmopolite, celle des premières années du XXe siècle. Tout, dans la production signée Robert Carsen, des jeux d’ombres, apparitions spectrales, à la chorégraphie, contribue à ce destin funeste. Orchestre monumental, voix poussées dans leurs derniers retranchements, le post-wagnérisme atteint ses plus extrêmes limites et flambe une fois pour toutes en Elektra.

En 1992, l’oeuvre a fait son entrée à l’Opéra Bastille, sous la direction musicale de Michael Schønwandt, dans une mise en scène de David Pountney, avec Gwyneth Jones (Elektra), Leonie Rysanek (Klytämnestra), Sabine Hass (Chrysothemis) et Philippe Rouillon (Orest).

En 2005, une nouvelle production signée par Matthias Hartmann réunissait Deborah Polaski, Felicity Palmer, Eva Maria Westbroek et Markus Brück, sous la direction musicale de Christoph von Dohnányi.

Robert Carsen met en scène la production présentée cette saison.

ELEKTRA

Tragédie en un acte

Musique :
Richard Strauss – (1864-1949)

Livret :
Hugo Hofmannsthal (von)

Direction musicale :
Semyon Bychkov – (10 > 22 mai)
Case Scaglione – (26 mai > 1 juin)

Mise en scène :
Robert Carsen

Chorégraphie :
Philippe Giraudeau

Décors :
Michael Levine

Costumes :
Vazul Matusz

Lumières :
Robert Carsen
Peter Van Praet

Chef des Choeurs :
Alessandro Di Stefano

Orchestre et Choeurs de l’Opéra national de Paris

Elektra :
Christine Goerke

Chrysothemis :
Elza van den Heever

Klytämnestra :
Angela Denoke

Aegisth :
Gerhard Siegel

Orest :
Tómas Tomasson

Opéra Bastille – du 10 mai au 01 juin 2022

11 mai 2022/par Dossier de presse
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