«En avril 1833, il y eut une courte idylle entre Prosper Mérimée et George Sand. Aux dires de chacun, elle n’aurait été qu’un feu de paille. Un fiasco avoué de part et d’autre. Curieux, non ? Se vante-t-on de ses échecs amoureux ? Il m’a semblé que ces deux êtres s’étaient peut-être trouvés, avaient vécu une folle passion et, les jours lucides succédant aux nuits d’ivresse, s’étaient repris, comme si de rien n’était, gardant secret un moment intime. J’ai fini par croire cette vérité plutôt que celle qu’ils se sont évertués à nous servir, soucieux chacun de leur postérité. Qu’ils me pardonnent si je les ai démasqués.» Gérard Savoisien, auteur
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