Nous travaillons ainsi: l’écriture est collective, la mise en scène est collective et nous sommes tous acteurs. Après de nombreuses recherches L’Idiot de Dostoïevski est apparu comme une évidence. Le propos du livre résonne profondément en nous, et la complexité de l’oeuvre permet une grande marge d’interprétation. En effet le but n’est pas de monter une adaptation de L’Idiot.
Le but est d’avoir un terreau si fertile qu’il sera plus aisé d’y faire pousser notre parole. Dans notre société où l’on semble s’appliquer à tuer le mystère en l’élucidant ou en le raillant, nous sommes une jeunesse qui a soif de sacré. Nous sentons un vide en nous. Une case qu’avec le Théâtre il nous semble possible de remplir.
L’Idiot parle de ce vide. D’une génération qui crie une soif de vie au sein d’une société morte.
La vieille Russie de Dostoïevski. La vieille France d’aujourd’hui au sein de laquelle nous désirons nous réinventer. D’après dossier de presse.
Princes d’après L’Idiot de Dostoïevski
Avec
Romain Grard. Hippolyte
Lisa Hours. Nastassia Filippovna
Christophe Montenez. Le prince Mychkine
Jules Sagot. Lebedev
Manuel Severi. Rogojine
Texte:
Les bâtards dorés.
Librement inspiré de L’Idiot de Dostoïevski.
Conception: Les bâtards dorés.
Mise en scène: Les bâtards dorés.
Illustrations & graphisme :
Margaux Kervarec
Théâtre du Pavé, Toulouse
du 20 au 28 mai 2014
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