Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Nathalie Stutzmann ce soir à Orange pour Mefistofele de Boito

Opéra, Orange

Nathalie Stutzmann va diriger cet été le Philharmonique de Radio France de Radio France aux Chorégies d’Orange dans Mefistofele, un opéra d’Arrigo Boito (les 5 et 9 juillet à 21h45). Un première pour Orange qui marque le renouveau impulsé par son nouveau directeur Jean-Louis Grinda qui assurera la mise en scène de cet opéra. Mefistofele n’a jamais été présenté au public à Orange. C’est un opéra immense, grandiose et fascinant créé à Milan à la Scala, le 5 mars 1868.

Entourée d’un père baryton et d’une mère soprano, Nathalie Stutzmann commence très tôt l’apprentissage de la musique ; le piano et le basson d’abord, puis, le chant auprès de sa mère Christiane Stutzmann. Après avoir obtenu son prix de chant au Conservatoire de Nancy en 1983, Nathalie entre dans la classe de Michel Sénéchal à l’Opéra de Paris. Elle est à peine âgée de 18 ans lorsqu’elle remplace au pied levé Jessye Norman lors d’un concert privé, accompagnée par Iouri Bachmet. De 1983 à 1987, elle suit les masters classes de Hans Otter. Elle suit également les cours de Christa Ludwig et Daniel Ferro à la Julliard School of New York.

Nathalie Stutzmann interprète des œuvres de nombreux compositeurs aussi bien à l’opéra qu’en récital, sans se limiter à un genre particulier : Haendel, Brahms, Mozart, Chostakovitch, Poulenc, Mahler, Bach, Schubert, Laurent Petitgirard, Chausson ou Vivaldi.

C’est aussi en tant que chef d’orchestre que Nathalie Stuzmann met ses talents au service de la musique. En 2009 elle fonde son propre ensemble, Orfeo 55, avec lequel elle se produit en France mais aussi aux Pays-Bas, en Suisse, en Espagne, et lors de nombreux festivals (Verbier, Ambronay, St Riquier, Sisteron, Auvers sur Oise ou Sablé sur Sarthe).

Le deuxième opéra sera Le Barbier de Séville dans la mise en scène d’Adriano Sinivia (les 31 juillet et 4 août).

5 juillet 2018/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Nos disques sont rayés #3 au Rond-Point
Le festival Clignancourt Danse sur les Rails 2020
Festival « Norvégiennes en scène » à Orsay
L’amour à la machine, le festival d’AlterMachine
MICROPOLIS 2024 à la la Manufacture de Nancy
Le festival Duetti 2023 du CDN Orléans / Centre-Val de Loire
Les compagnies pré-sélectionnées pour le Prix CCN de Créteil et du Val-de-Marne / Festival Kalypso
La Scène nationale de Montbéliard annule son festival Green Days faute d’argent !
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut