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Miss Knife est ses soeurs

Théâtre musical
Eric Deniset

Olivier Py, Miss Knife © Eric Deniset

« Miss Knife a toujours partagé la scène, c’est la culture même du cabaret d’être hospitalier. De spectacle en spectacle, d’opéra en opérette, de cabaret en concert, les chansons, bien plus qu’un art mineur, sont d’une profondeur qui touche chacune et chacun, l’expression de notre humanité. Chaque chanson est un monde en soi. Collectées dans les coulisses de théâtre, dans le répertoire écrit pour Miss Knife et les nuits travesties, ou dans le répertoire classique, elles permettent toujours un kaléidoscope de sentiments. Il faut pourtant pour les servir se donner sans aucune retenue. Pour le dernier jour de cette 76e édition, outre ma sœur Angélique Kidjo, immense artiste internationale, qui a marqué la Cour d’honneur et a chanté avec moi à Paris et New York, l’invitation faite à mes autres sœurs de musique, les Dakh Daughters d’Ukraine, était une évidence. Elles incarnent l’espoir et le courage par l’art. » Olivier Py

Olivier Py a « traversé trente ans de Miss Knife ». Il raconte que lorsqu’il a commencé cette aventure, « nous n’étions pas loin de l’opprobre, chanter en travesti était extrêmement scandaleux, pouvait même déclencher de la violence. Aujourd’hui, c’est en famille que l’on vient voir Miss Knife et cela me procure beaucoup de joie ». Comme chanter est l’une des choses qui lui fait le plus peur, n’ayant « pas le courage de chanter avec (son) propre visage » il a choisi le travestissement. Depuis, Miss Knife a joué partout en France et dans le monde, dans des clubs comme dans des salles de concert, en formation jazz ou symphonique.

Les Dakh Daughters expriment avec puissance et humanité le besoin de liberté des citoyennes d’un monde en mutation où le devoir de révolte fédère actes et pensée et s’oppose à l’amertume de la résignation. Six voix de femmes engagées qui mélangent les mélodies traditionnelles ukrainiennes et leur propre musique.

La chanteuse béninoise Angélique Kidjo navigue entre trois continents, plusieurs langues et des aventures musicales qui élargissent la musique africaine jusqu’à la pop, le jazz ou l’opéra contemporain. Son tempérament de feu et son sens de l’engagement ont fait d’elle un des symboles d’une culture mutante, aussi mouvante qu’enracinée.

L’Orchestre national Avignon-Provence participe à la vie musicale française et accomplit des missions de service public de la culture sur l’ensemble du territoire Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur. Grâce à sa politique artistique ambitieuse et curieuse, menée par Débora Waldman, Directrice musicale, l’Orchestre offre une profonde intelligence musicale dans l’approche des œuvres.

Avec Miss Knife, les Dakh Daughters, Angélique Kidjo et l’Orchestre national Avignon-Provence

Mise en scène Vlad Troitsky pour les Dakh Daugthers
Composition Dakh Daughters, Stéphane Leach, Jean-Yves Rivaud
Arrangements pour orchestre Stéphane Leach, Pierre Thilloy
Direction musicale Débora Waldman, Samuel Jean
Lumière, mapping vidéo (Dakh Daughters) Mariia Volkova
Son (Dakh Daughters) Mickael Kandelman, Bruno Ralle

Production Festival d’Avignon, Dakh Theatre, Drôles de Dames
Avec le soutien de la Spedidam pour la 76e édition du Festival d’Avignon
En partenariat avec France Médias Monde

76e édition du Festival d’Avignon
Opéra
Mardi 26 juillet à 18h

29 mai 2022/par Dossier de presse
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